• Les conclusions avisées de Jean-Pierre Petit sur le vaccin H1N1

    A titre de conclusion, deux cas de figure se présentent ( je cite ) :

    - Soit on admet que ce virus pandémique est stable, et donc bénin ( confers les effets sur les pays de l'hémisphère sud ), et que vacciner les populations, en particulier les enfants, avec un vaccin non testé leur fait courir beaucoup plus de risques que cela ne peut leur apporter de bénéfices. Sans parler d'une autre conséquence possible : si d'aventure ce vaccin était efficace, ce qui n'est pas démontré, une vaccination massive créerait une pression de sélection susceptible de faire muter le virus. Et ceci sans que les populations soient durablement protégées.

    - Soit le virus mute et le vaccin ne sert à rien.

     

    De plus, Jean Pierre Petit a rapporté sur son site web que les militaires Français stationnés dans les Départements et Territoires d’Outre Mer, ont été invités à se préparer aux vaccinations forcées et aux arrestations des manifestants.

    Jean Pierre Petit recommande aux parents de garder leurs enfants à la maison afin d’éviter les équipes mobiles de vaccinations, qui se rendront dans tous les établissements scolaires et vaccineront les enfants.

    Il a déclaré : « J’ai reçu des informations provenant des DOM-TOM, les militaires français déclarent avoir reçu des ordres sans équivoque : vaccination forcée et les manifestants seront mis sous les verrous »

    Tout ceci se produira dans les mois ou semaines qui suivent. Lorsque la campagne de vaccination débutera, les équipes mobiles de vaccinations, qui agiront sans l’approbation des médecins de famille, se rendront directement dans les écoles pour vacciner les enfants.

    Si les parents ont des doutes concernant la nature de cette campagne de vaccination et veulent que leurs enfants échappent à cette campagne, ils devraient songer à les garder en sécurité à la maison.

     

    Lien sur le site de JPP : JPP et vaccination 


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  • Vaccin grippe A H1N1 : la majorité des médecins refusent de se faire vacciner?

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    On n’a pas terminé d’entendre parler du vaccin pour se protéger du virus de la grippe A H1N1. Ce n’est même que le début… Le vaccin n’est pas encore disponible, tous les tests ne sont pas encore terminés que le vaccin fait déjà scandale! S’agit-il d’une vaccination sûre, fiable et sans soucis? Où s’agit-il d’un test à l’aveuglette grandeur nature… on vaccine et on verra après? Le débat est lancé et plus généralement… la santé publique et le fonctionnement du pays passent-ils avant la santé personnelle de l’individu?

    En effet, dans de nombreux pays du monde, des sondages sont lancés par le biais de syndicat professionnel. Ainsi, en France, le syndicat infirmier a lancé une consultation pour savoir si le personnel infirmier avait l’intention de se faire vacciner ou pas. Sur 4000 réponses, 65% refusent la vaccination H1N1.

    Selon un sondage du magazine Nursing Times, réalisé auprès des infirmières anglaises du secteur public de santé NHS (National Health Service), seulement 37% d’entre elles ont dit qu’elles se feraient vacciner contre la grippe porcine! On retrouve aussi de fortes réticences à Hong Kong, où des chercheurs de l’Université de Hong Kong ont fait une étude sur un échantillon de 2.255 médecins et infirmières des hôpitaux publics : seulement 48% accepteraient de se faire vacciner, si le vaccin est fabriqué à partir d’une souche d’origine porcine. La proportion tombe même à 35% avec une souche d’origine aviaire.

    Sur son site internet, le Syndicat Infirmier estime nécessaire de se faire vacciner contre la grippe saisonnière, car cela permet de réaliser rapidement un diagnostic différentiel : une personne vaccinée qui présente un syndrome grippal aurait a priori une grippe H1N1, et pourrait être mise rapidement sous Tamiflu.

    “Mais le vaccin H1N1 est particulier (fabriqué rapidement dans un cadre réglementaire dérogatoire, avec présence discutable d’un adjuvant), et injecter 94 millions de doses d’un produit sur lequel nous n’avons aucun recul peut poser un problème de santé publique. Nous estimons qu’il est de notre devoir d’infirmières d’informer correctement la population, pour que chacun prenne sa décision en toute connaissance de cause, par un consentement libre et éclairé, en fonction de son état de santé personnel, de son environnement familial et de son lieu de travail” précise Thierry Amouroux, le Secrétaire Général du Syndicat National des Professionnels Infirmiers SNPI CFE-CGC.

    Toutes les infos complémentaires sur ces enquêtes à retrouver directement sur le site internet du Syndicat Infirmier : www.syndicat-infirmier.com


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  • Squalène : C30H50 un adjuvant

    Trop dangereux pour l'usage humain, le Squalène n'est pas autorisé à l'usage aux Etats-Unis. Les adjuvants à base d'huile comme le Squalène sont normalement utilisé pour infliger des maladies aux animaux - pour expérimentation et pour étude. Selon l'expert en vaccin contre l’anthrax, Gary Matsumoto, et d'autres sources fiables, les militaires Américains ont utilisé contre l’anthrax des vaccins non autorisés et expérimentaux contenant du Squalène, ayant eu des conséquences désastreuses, y compris le Sydrome de la Guerre du Golfe. Descriptions chimiques :

    La Bibliothèque Nationale de Médecine des Etats-Unis : PubChem


    Toxicité:
    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?CMD=search&DB=pubmed&term=%22Squalene%2ftoxicity%22[Mesh%20Terms%3anoexp

    Effets nuisibles:
    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?CMD=search&DB=pubmed&term=%22Squalene%2fadverse%20effects%22[Mesh%20Terms%3anoexp.
    Lisez l’article:
    “Matsumoto, Gary.  Vaccine A; The Covert Government Experiment That's Killing Our Soldiers – and Why GI's Are Only the First Victims. Basic Books, 2004.”


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  • Vaccin et mercure


    Pour la première fois, un vaccin contient du mercure.


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  • Grippe A H1N1, le vaccin contre la grippe porcine, créé la polémique !


    Se faire vacciner contre le virus de la grippe A H1N1, serait-il dangereux ? c'est ce que pensent certains scientifiques, médecins, personnels médicals. Beaucoup de personnes, se posent actuellement la question de savoir si ce vaccin contre la Grippe A H1N1, est sans risque, car ce vaccin contre la grippe A h1N1, a été réalisé dans l'urgence, et on ne peut pas connaître ses effets

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    secondaires. A ce sujet une députée européenne, Michèle Rivasi, demande à ce que la vaccination, contre la grippe porcine, soit retardée !. A cette effet, cette dame, une lettre ouverte à la ministre de la Santé en demandant, que plus de transparence soit donnée sur ce vaccin de la grippe. En France, la Ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, assure quant à elle, que la campagne de vaccination contre la grippe porcine, sera débutée réalisée, quand toutes les mesures de sécurité, seront réalisées ! Mais y aura t-il assez de recul, pour apprécier, les effets secondaires qui pourraient subvenir ?, à moyenne et longue échéance. Pour la France, sachez que 94 millions de doses du vaccin, contre la grippe A H1N1 ont été commandées. Jusqu'à présent l'Etat Français, a dépensé 1 milliard d'euros pour les vaccins et les masques. D'après ce qui est avancé, par les détracteurs du vaccin, c'est les adjuvants, des molécules que l'on rajouterait aux vaccins pour le rendre plus efficaces, qui poseraient problème. La grande question pour Monsieur et Madame tout le monde, serait de savoir, s'il est plus dangereux de se faire vacciner, contre la Grippe A H1N1, que non ?. Car d'un autre côté, on dit aussi que le virus de la grippe porcine, est fort contaminant, mais n'est pas virulent et grave, quant aux risques engendrés sur la santé ! Le virus de la grippe A H1N1, ne serait pas plus dangereux que la virus de la grippe saisonnière. A noter, que les pouvoirs publics ont débloqué une enveloppe, pour que la recherche en France, se penche en urgence sur la vaccination chez les femmes enceintes. L'étude ne sera, toutefois, disponible qu'à la fin du mois de novembre 2009.


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  • Seb Musset : Destination grippe

     

     


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  • Il y en aura pour tout le monde !!!!! cool non?

    Grippe H1N1: une seule dose de vaccin pourrait suffire chez les adultes

    De Catherine MARCIANO (AFP) – Il y a 2 heures

    BRUXELLES — Une seule dose de vaccin pourrait suffire pour immuniser les adultes contre la grippe H1N1, ce qui accroîtrait de fait les réserves mondiales de vaccins, s'est réjouie vendredi à Bruxelles une responsable de la Santé américaine, commentant des essais scientifiques.

    "Il apparaît que nous pourrions n'avoir besoin que d'une dose de vaccin, au moins pour les adultes", a commenté vendredi Nicole Lurie, sous-secrétaire au Département américain de la Santé.

    Mme Lurie s'exprimait en conclusion d'une rencontre régulière entre hauts responsables de la Santé du G7 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Allemagne, France, Italie, Japon et Canada), qui avaient aussi invité le Mexique pour échanger leurs informations sur la pandémie de grippe H1N1.

    "Nous sommes encouragés par les données que nous avons vues sur les vaccins contre la grippe H1N1, dont des informations reçues hier, provenant à la fois des fabricants (de vaccins) et de nos propres essais cliniques américains", a-t-elle dit.


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  • La pandémie de l’indécence

    Pour le Pr Gentilini, c’est surtout à une « pandémie de l’indécence » que l’on assiste. À moins que cette surréaction ne soit la conséquence d’une interprétation particulière du principe du précaution, qui rend obsolète toute évaluation rigoureuse du risque. Car c’est bien la peur d’une catastrophe humaine estimée potentiellement à plusieurs centaines de milliers de décès qui semble justifier un tel affolement. Un discours apocalyptique déjà entendu lors de crises précédentes, comme celles de la grippe aviaire H5N1 ou de la vache folle, au cours desquelles les médias, appuyés par certains « spécialistes », avaient annoncé sans la moindre retenue des millions de morts.

    Pourtant, il suffit d’un peu de raison pour recouvrer son sang-froid. Quelle importance de savoir qu’un risque existe si l’on ne prend pas en compte sa probabilité d’apparition ? Certes, le risque d’une mutation – ou plutôt d’un réarrangement génomique – du virus présent, dont la souche s’avère plutôt bénigne, n’est pas nul. Celui d’un accident nucléaire ou de la chute d’une météorite sur la Terre existe également. Avant la lecture actuelle du principe de précaution, la probabilité d’occurrence et la compréhension des mécanismes d’apparition de tels phénomènes faisaient partie des éléments permettant aux décideurs de prendre des mesures adéquates. L’improbable mutation du virus A H1N1 vers une forme plus pathogène, à travers une transmission d’homme à homme, ne représente pas le vrai danger. En revanche, celui d’un réassortiment de deux souches virales (l’humaine et l’aviaire), possible principalement chez le porc suite à une cassure antigénique, est réel. Cette cassure pourrait provoquer non plus de légères mutations des neuraminidases (NA) ou des hémagglutinines (HA) du virus, mais le remplacement complet d’une de ces deux protéines NA ou HA d’une souche virale humaine donnée par une glycoprotéine équivalente d’une souche virale aviaire. « La prévention de la transmission de l’homme au porc devrait être hautement prioritaire [1] », estime le Dr Thomas Vahlenkamp, virologue à l’Institut allemand Friedrich Loeffler. En effet, les lieux potentiels de ce réarrangement sont bien les élevages porcins du monde entier, qu’ils soient intensifs ou non. Mais sûrement pas la cour de récréation de nos enfants.


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  • “On ne veut pas servir de cobayes !”

    Sur les 4.752 médecins, infirmières ou aides-soignants interrogés par l’Espace éthique de l’Assistance publique-hôpitaux de Paris, plus d’un tiers hésite ou refuse de se faire vacciner contre la grippe.

    Ces réticents doutent en effet de l’innocuité de ce vaccin conçu dans l’urgence et craignent des effets secondaires. Certains évoquent un risque de maladie immunitaire ou neurologique induisant une paralysie à vie.

    “On ne veut pas servir de cobayes”, explique à Astrid Bard, Thierry Amouroux, secrétaire Général du SNPI CFE-CGC, le Syndicat national des professionnels infirmiers


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  • Grippe A : "aucun plan secret" à la Justice


    La ministre de la Justice conteste les propos du Syndicat de la Magistrature selon lesquels le gouvernement aurait prévu "des mesures qui relèvent de l'Etat d'exception" en cas de pandémie qui limiteraient les libertés individuelles.

    Le gouvernement envisagerait de prendre des mesures d'exception pour la justice, en cas de pandémie de grippe H1N1, selon des documents présentés par le Syndicat de la magistrature (SM), et publiés mardi 8 septembre par le journal Libération.
    Le syndicat classé à gauche s'en inquiète, et dénonce un "dispositif liberticide".
    Selon le SM, il s'agirait notamment "d'adapter la procédure pénale" par "voie d'ordonnance en cas de pandémie".

    Le syndicat de la magistrature (SM) a dévoilé jeudi les grandes lignes d’un plan prévu par la Chancellerie en cas de pandémie dans le domaine de la justice. Si une telle situation survenait, les audiences, d’habitude publiques, se dérouleraient systématiquement à huis clos, en présence d’un seul magistrat contre trois actuellement. Par ailleurs, les délais de détention provisoire seraient allongés de 4 à 6 mois.

    Pour le SM, classé à gauche, ces mesures sont liberticides et choquantes Matthieu Bonduelle, son secrétaire général, parle de plan totalement disproportionné :

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    Michèle Alliot-Marie est montée au créneau pour calmer le jeu. "Ce sont des mesures envisagées dans le cas où on serait dans une situation catastrophique, ces mesures n'ont même pas encore été arbitrées", a affirmé la ministre de la Justice. "On a demandé à chacun des ministères (...) de répondre y compris aux cas les plus graves, ce qui encore une fois n'est pas le cas aujourd'hui et sans doute, je l'espère, ne s'appliquera jamais".

     

    mmmmmmouais !!!!


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  • 1976, quand la grippe porcine terrorisait les États-Unis

    Après plusieurs cas apparus dans un camp militaire, les autorités avaient lancé, dans la précipitation, une campagne de vaccination massive.

    La dernière éclosion d’une épidémie de grippe porcine a eu lieu dans la base de Fort Dix (New Jersey). Le 5 février 1976, le soldat David Lewis se plaint d’une extrême fatigue, et décède le lendemain. D’autres soldats sont hospitalisés avec les mêmes symptômes. Les autorités annoncent alors qu’il s’agit bien de cas de grippe porcine.

    Au mois de mars, le président de l’époque, Gerald Ford, craignant une pandémie, ordonne une campagne de

    vaccination massive : 46 millions d’Américains seront vaccinés. Très vite, des réactions au vaccin apparaissent : décès par arrêt cardiaque quelques heures après injection, et surtout de nombreux cas de complications pulmonaires liées au syndrome de Guillain-Barré. Le 16 décembre, le gouvernement décide de mettre met fin à la campagne de vaccination. Un tiers de la population aura tout de même été vaccinée.

    Trois ans plus tard, c’est une bataille juridique qui débute. 4 000 Américains, victimes des effets néfastes du vaccin, demandent réparation pour 3,5 milliards de dollars. Dans les deux tiers des réclamations, les gens souffraient de dommages neurologiques, et certains en étaient morts. Voilà sans doute pourquoi, trente-trois ans plus tard, les labos chargés de produire les fameux vaccins ont obtenu, au début de l’été, par décret, de la secrétaire américaine à la Santé, Kathleen Sebelius, une totale immunité, histoire de se prémunir contre toutes nouvelles poursuites.

    À l’époque, les médias locaux évoquaient le « fiasco de la grippe porcine ». La chaîne de télévision américaine CBS mettant l’accent, dans une émission diffusée le 4 novembre 1979 (et visible sur Internet), sur l’empressement du gouvernement américain à lancer cette campagne de vaccination. Le virus de la grippe porcine ne s’était pourtant pas propagé hors de l’enceinte de Fort Dix.

    M. O.


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  • Grippe H1N1: des vaccins sous haute surveillance

    De Christine COURCOL (AFP) – Il y a 4 heures

    PARIS — Les vaccins contre la grippe H1N1, qui vont arriver progressivement sur le marché, seront des produits nouveaux pouvant provoquer des effets secondaires inattendus qui devront faire l'objet d'une surveillance, selon les autorités de santé.

    Elles estiment toutefois que les avantages d'une vaccination l'emportent sur les risques éventuels.

    On ne peut "connaître exactement leurs effets secondaires", note le réseau d'experts Infovac, créé à destination des pédiatres.

    Infovac remarque que des vaccins similaires développés contre la grippe aviaire, "avec les mêmes adjuvants", provoquent "plus souvent des relations inflammatoires aiguës que les vaccins traditionnels contre la grippe saisonnière".

    Pour ce réseau, "il n'est pas encore possible d'exclure un risque rare (1 à 10 par million) d'effets indésirables inhabituels ou graves".

    Si toute la population de France métropolitaine se faisait vacciner, comme le souhaite le ministère de la santé, cela signifierait 60 à 600 cas d'effets indésirables lourds.

    Pour Margaret Chan, directrice générale de l'OMS, les essais cliniques en cours devraient donner des indications sur les effets secondaires possibles de ces vaccins. Mais "du fait du nombre limité de personnes testées, des effets secondaires extrêmement rares n'apparaissent pas toujours dans les essais, dit-elle.

    Elle rappelle à cet égard que le syndrome de Guillain-Barré, maladie neurologique qui peut être grave, "survient à la fréquence d'un cas pour un million de personnes vaccinées". "Nous risquons donc d'en voir", dit-elle.

    L'OMS a recommandé une surveillance sanitaire après inoculation du vaccin.

    Un syndicat infirmier français dit craindre "un vaccin développé trop rapidement", avec un adjuvant "susceptible de déclencher des maladies auto-immunes". "Le remède risque d'être pire que le mal", affirme le syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI). Il réclame que les patients signent un document de consentement comme pour les médicaments expérimentaux.

    Plus de la moitié du personnel de santé de Hong Kong, selon une étude, se dit très réticent à se faire vacciner. De même des infirmières britanniques, dont 30% auraient refusé le vaccin, selon un sondage publié par une revue professionnelle.

    Certains médecins rappellent le précédent américain de 1976, où par crainte d'une épidémie de grippe porcine, une vaccination de masse avait été lancée puis arrêtée après la survenue de syndromes de Guillain-Barré. Pour Vincent Enouf, responsable adjoint du Centre national de la grippe à l'Institut Pasteur, rien n'a permis d'établir, en 1976, que les cas de Guillain-Barré étaient "liés à la vaccination".

    La biologiste Michèle Rivasi estime aussi que les "risques" de la vaccination semblent "avoir été ignorés" alors que "l'expérimentation a été très limitée". Elle pointe particulièrement les adjuvants grâce auxquels on booste l'immunité.

    Le Pr Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, estime le risque de maladies auto-immunes provoqué par ces adjuvants "théorique et nullement démontré", mais juge "légitime" de le prendre en compte.

    Pour le Dr Enouf, il serait effectivement "plus pertinent d'utiliser des vaccins sans adjuvants" pour les femmes enceintes notamment.

    "Le contrôle de la qualité pour la production des vaccins antigrippaux s'est substantiellement amélioré depuis les années 1970", dit l'OMS, qui rappelle cependant sur son site qu'"une surveillance étroite" suite à l'administration du vaccin seront "indispensables".

    L'agence française du médicament (Afssaps) a ainsi prévu de mettre en ligne sur son site une fiche de déclaration des éventuels effets secondaires.


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  • OPERATION PANDEMIE

     


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  • Les infirmiers se méfient des risques d'une vaccination

    Le vaccin contre la grippe H1N1, actuellement développé par Novartis, a montré une forte réponse immunitaire lors d'études cliniques menées par le groupe, a-t-il indiqué jeudi.

    Le Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI) a estimé hier que la vaccination massive de la population contre la grippe H1N1 présentait des risques, en raison de certains composants du vaccin et de tests jugés pas assez nombreux.

    «Injecter 94 millions de doses d'un produit sur lequel nous n'avons aucun recul peut poser un problème de santé publique» , estime Thierry Amouroux, secrétaire général du SNPI. Il «craint une répétition des complications rencontrées aux Etats-Unis en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine», qui aurait augmenté les risques de maladie neurologique. Il souligne aussi la présence dans l'un des vaccins commandés d'un «amplificateur d'effet» qui «n'a jamais été utilisé auparavant dans un vaccin commercialisé à large échelle».

    Il pourrait «déclencher des réactions immunitaires excessives, dangereuses pour des personnes atteintes de certaines pathologies»


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  • 1000 dollars d’amende par jour

     

    Une nouvelle loi votée dans l’Etat du Massachusetts impose 1000 dollars d’amende par jour et une peine privative de liberté pour refus de vous soumettre à la force publique si les autorités décrétent l’Etat d’urgence en matière de santé publique.
    La polémique portant sur les vaccinations contre la grippe porcine prend de l’ampleur un peu partout. Les autorités américaines notamment, savent que beaucoup de leurs concitoyens sont extrêmement inquiets au sujet de la sécurité de ce vaccin fabriqué à la va vite et cherchent à contrer les contestataire par des lois coercitives. Reste à savoir maintenant si nous glisserons à notre tour subrepticement dans cette voie.
    Après l’avoir suggéré publiquement et "pris la température", ces temps ci les autorités cherchent plus à convaincre par la propagande médiatique qu’à contraindre. A celles et ceux qui veulent disposer librement de leur corps, ne baissons pas la garde !


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  • H1N1 : virus-business ?

    Savoir raison garder. Alors que le grand brouhaha médiatique est en branle autour du virus H1N1, le site Arrêt sur Images (ASI) revient sur la perplexité de certains médias allemands face à la dramatisation qui entoure une grippe dont la mortalité reste faible (2 185 personnes dans le monde). L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est clairement accusée de servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique.

    Le constat est simple. Si H1N1 est un virus qui tue moins que la traditionnelle grippe saisonnière, pourquoi cet emballement mondial ? ASI rappelle que chaque année, on estime qu’environ 5 000 Français meurent, directement ou indirectement, de la grippe.

    ASI s’intéresse au cas d’un virologue, Tom Jefferson, qui a accusé dans les médias allemands l’OMS d’avoir abusivement décrété la situation de pandémie. Selon Jefferson, l’OMS aurait modifié sa définition du terme “pandémie”. Désormais un nombre élevé de morts et de malades ne serait plus nécessaire pour procéder à la déclaration de l’état de pandémie. Une situation favorable aux grandes peurs collectives et, à l’industrie pharmaceutique et aux médias.

    Difficile d’accuser ASI de se vautrer dans les thèses conspirationnistes de tous poils qui circulent sur le net. A ce titre, l’analyse de l’équipe de Daniel Schneiderman vaut beaucoup mieux que le désintérêt dont elle fait l’objet de la part des médias français.


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  • le CDC charge les neurologues de surveiller les maladies nerveuses suite au vaccin

     

    le CDC charge les neurologues de surveiller les maladies nerveuses suite au vaccin

    La CDC a suivi à la lettre les services de Santé britanniques en avertissant les neurologues de surveiller les cas de maladies nerveuses du Syndrome de Guillain-Barre provoqué par le vaccin de la grippe porcine.

    Des médecins britanniques se sont vus recommander le mois dernier par le gouvernement de suivre attentivement les cas de la maladie et de rapporter chaque cas à l'Agence pour la Protection de la Santé. Une lettre envoyée par 600 neurologues montre que « il y a une préoccupation aux plus hauts niveaux sur le fait que le vaccin lui-même pourrait causer de sérieuses complications, » selon un rapport du Daily Mail.

    Pendant la grippe porcine de 1976 aux États-Unis, qui a incité le gouvernement à ordonner un programme de vaccination de masse pour couvrir la population entière, le vaccin a causé plus de décès que le virus réel, provocant un conflit public qui a alors coûté au directeur du CDC son poste.

    Des soucis semblables concernant le vaccin se répètent maintenant 30 ans plus tard.

    « Le Centre de Contrôle et de la Prévention des Maladies (CDC) des États-Unis et l'Académie de Neurologie Américaine ont demandé à tous les neurologues de rapporter  au FDA les nouveaux cas de Guillain-Barre chez les personnes qui ont pris le vaccin, » rapporte l'Oregonian.

    Le Syndrome de Guillain-Barre peut occasionner des paralysies et des difficultés de respiration et est parfois mortel. Il produit également une sensation de tintement et affaiblit les membres.

    Le vaccin de la grippe porcine a été précipité dans les procédures de validation alors que les gouvernements ont fourni aux entreprises pharmaceutiques l'immunité les protégeant en cas de procès dû au vaccin.

    Il a été precedemment révélé que certains lots du vaccin contiendront du mercure, une toxine liée à l'autisme et à des désordres neurologiques. Le vaccin contiendra également le dangereux squalène, qui a été directement lié avec les cas de Syndrome de la Guerre du Golfe et d'une foule d'autres maladies débilitantes.

    Plusieurs sondages ont indiqué qu’un nombre important de professionnels de la santé partout dans le monde refuseront de prendre le vaccin de la grippe porcine en dépit du plan du gouvernement pour mettre en place un programme de vaccination de masse. Un nouveau sondage publié hier a constaté qu’à peine 6% des femmes enceintes prendront «à coup sûr» le vaccin, en raison de son manque de fiabilité.


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  • Le brevet du vaccin contre le H1N1 a été déposé en 2007


    Voici le lien vers le bureau des Brevets des Etats Unis pour voir le brevet :Lien brevet vaccin 

     


    La date de 2008 est celle de l’acceptation finale de l’examen de la Demande de Brevet. La date d’enregistrement (date de réception au bureau du PTO) est plus ancienne d’un an jour pour jour. J’ai mis les liens ci-dessus du Bureau Américain des Brevets et des Marques Déposées pour vérifier cela. Je peux également télécharger n’importe laquelle des sections ou copier ces pages et je vous recommande fortement d’en faire autant. (Le brevet pourrait être classé top secret par décret et retiré).

    article très interressant http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article6261


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  • LE RÉEL RAPPORT BÉNÉFICE/RISQUE DU VACCIN

    CONTRE <st1:personname productid="LA GRIPPE" w:st="on">LA GRIPPE</st1:personname>

     

    L’efficacité du vaccin contre la grippe humaine, qui éviterait 2 500 à 4 000 décès chaque année en France et 400 à 700 décès en Belgique, n’a jamais été démontrée scientifiquement.

    .    La revue de médecine, The Lancet révélait déjà, le 10 août 1974, que « les résultats jusqu'à présent obtenus démontrent que l'offre annuelle d'une injection du vaccin dans la vaste industrie n'a pas entraîné une réduction significative de la maladie ». Vingt ans plus tard, une étude de l’institut national de santé et de recherche médicale (INSERM) confirmait la survenue d'une grippe chez 20 à 60% des vaccinés, ainsi que la supériorité de l'immunité naturelle qui protégeait bien plus longtemps.

    .    Le relevé des maladies transmissibles, édité le 1er mars 2001 par l’Agence de santé publique du Canada, confirme cette étude de l’INSERM. Selon le CDC de Vancouver qui a réalisé l’étude, 77% des 300 pensionnaires d'une maison de retraite de Colombie-Britannique avaient été vaccinés contre la grippe. 28 d'entre eux, ainsi que de nombreux membres du personnel, lui-même vacciné à 57%, contractèrent, quatre à huit semaines plus tard, une grippe de type B apparenté à B/Yamanashi, c'est-à-dire la même souche que celle utilisée pour la mise en route du vaccin administré en novembre 2000. Le Tamiflu®, administré aux pensionnaires de l'un des services touché par les huit premiers cas de grippe, n'a pas empêché la survenue de 20 autres cas dans les autres services de l'établissement.

    .    Selon une étude plus récente, synthèse de 64 études internationales représentant 96 saisons de grippe et portant sur 2,5 millions d’observations, l’efficacité globale des vaccins sur les maladies grippales chez les personnes âgées n’est que de 23 %, lorsque le vaccin correspond bien au virus grippal en circulation (rassurez-vous, l’histoire ne dit pas que le virus du vaccin est responsable de l’épidémie de grippe !). Lorsque le vaccin rencontre un autre virus grippal que celui contre lequel il est censé lutter, la protection des sujets vaccinés est moins bonne que celle obtenue avec le placebo chez les personnes non-vaccinées ! (Dr Tom Jefferson et all., The Lancet, 22 septembre 2005.) 

    .    Selon une synthèse de 51 autres études – dont 17 russes - portant sur plus de 260.000 enfants, les chercheurs ont conclu qu'il n'y avait « aucune évidence que l'injection du vaccin chez les enfants de 6 à 23 mois est plus efficace que le placebo. » (The Cochrane Database of Systematic Reviews. "Vaccines for preventing influenza in healthy children" 2006).

          Pour les adultes en bonne santé, les résultats étaient comparables : 25 études incluant plus de 60 000 participants ont été passées en revue. Le groupe de Cochrane a constaté que la vaccination a réduit le risque de grippe d'un 6% maigre et a réduit le nombre de jours d’arrêt de travail par moins d'un jour (0,16 jour). (The Cochrane Database of Systematic Reviews « Vaccines for preventing influenza in healthy adults. »)

    .    Une autre étude canadienne a démontré que l'incidence de la grippe n’avait aucunement diminué dans l'Ontario, après l'introduction de la campagne universelle d'immunisation de grippe en 2000. Toutes les grippes confirmées par les laboratoires entre janvier 1990 et août 2005 ont été analysées.     On a déterminé que « (…) en dépit de la distribution intensifiée de vaccinations et des ressources financières accrues employées pour favoriser la vaccination, » l'incidence de la grippe n'avait pas été diminuée par les campagnes nationales de vaccination contre la grippe. (Groll, DL, Thompson, DJ. « Incidence of influenza in Ontario following the Universal Influenza Immunization Campaign » ; Vaccine : April 5, 2006)

    .    Reposant, nous affirme-t-on, sur la présence d'anticorps spécifiques, l'efficacité du vaccin contre la grippe varie de 20 à 65% chez les personnes âgées et tend même à diminuer avec le temps en raison du « péché originel » des immunologistes. Les sujets ayant été précédemment infectés (ou vaccinés), produisent en effet préférentiellement des anticorps contre le premier type de virus qu'ils ont rencontré, plutôt que contre les souches contenues dans un vaccin ultérieur.

     

    Les risques de la vaccination

     

    .    Le Vidal en France, comme le Compendium en Belgique, présents dans le cabinet de tous les médecins et des pharmaciens, nous informent de l’existence pour tous les vaccins contre la grippe, et en dehors de toute notion de sida, de « réponses faussement positives aux épreuves sérologiques utilisant la méthode Elisa pour détecter les anticorps contre HIV1, hépatite C, et surtout HTLV1. Infirmées par le Western Blot, ces réactions transitoires faussement positives seraient dues à la réponse IgM induite par la vaccination ». Preuve s’il en est que l’administration de ces vaccins qui font appel à du formol, reconnu cancérigène, n’est pas du tout maîtrisée et reste empirique.

    .    La revue de médecine, The New England Journal of Medicine du 9 mai 1996, nous apprend également  que « la réplication du VIH est augmentée après administration du vaccin grippal à des patients infectés par le VIH. De plus, la vaccination semble augmenter la susceptibilité à l’infection in vitro des lymphocytes des personnes non infectées », voire la susceptibilité à d’autres infections.

    .    Le système immunitaire fait appel à des lymphocytes présents dans le sang et le tissu lymphatique : Les cellules K ou Natural Killer, capables de détruire les cellules infectées ainsi que les cellules cancéreuses. Interviennent également d’autres cellules comme les cellules T, fabriquées dans la moelle. Ces cellules doivent subir une maturation et une programmation au niveau du thymus pour se transformer en cellules CD4 et CD8. Les cellules CD4 (CD4 helper) orchestrent la réponse immunitaire en activant d’autres cellules immunitaires et en stimulant la production des anticorps par les lymphocytes B. Les cellules CD8 (CD8 suppressor) ont pour fonction d’arrêter l’activité des cellules tueuses en signalant l’arrêt de l’attaque. L’analyse de ce rapport CD4/CD8 permet de suivre attentivement l’évolution du système immunitaire chez les patients atteints de sida ; sa diminution indiquant une évolution défavorable avec une augmentation de la charge virale.

        Or, des perturbations de ce rapport CD4/CD8 sont observées avec tous les vaccins. M. Eihl, J. Mannhalter, G. Zlabinger de l’Université de Vienne en Autriche ont ainsi mis en évidence, avec le vaccin contre le tétanos, comme avec les vaccins couplés, diphtérie, tétanos, polio et coqueluche, un affaiblissement du système immunitaire comparable à celui observé au cours du sida. L’anatoxine tétanique avait été injectée à 11 sujets en bonne santé, âgés de 25 à 50 ans, n’appartenant pas à un groupe à risque pour le sida. Entre 7 et 14 jours après la vaccination, les évaluations moyennes des rapports CD4/CD8 étaient significativement plus basses chez l’ensemble des sujets qu’avant la vaccination, avec pour certains des taux comparables à ceux observés en cas de sida. Un mois plus tard, ce rapport CD4/CD8 revenait à la normale. (New England Journal of Medicine, vol 310, 1984)

    .    D’autre part, 7 des 11 vaccins contre la grippe commercialisés font appel à des ARN double-brins qui exercent une régulation du noyau et donc des gènes des cellules de la personne vaccinée. Ces doubles ARN bloquent certains gènes sur la chaîne d'ADN et notamment chez les personnes âgées, dont la production des gènes et des cellules est diminuée ou ralentie voire déficiente. Il en résulte un fonctionnement anormal des cellules, au premier plan desquelles les neurones ! (travaux d’Andrew Fire et Craig C. Mello sur les mécanismes biologiques contrôlant les flux d'informations génétiques, qui leur a valu le Prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006). D'où la floraison grandissante des Alzheimer actuels, au rythme de 250 000 nouveaux chaque année en France, pour lesquels la pollution électromagnétique n’est pas non plus étrangère.

    .    Quelque soit le vaccin contre la grippe, le Vidal nous apprend également qu’il faut craindre dans 1 cas sur 1 000 à 1 cas sur 10 000, des névralgies, paresthésies, convulsions, thrombocytémies transitoires, ainsi que choc anaphylactique mortel: soit globalement, chaque année en France, entre 1 100 à 11 000 personnes affectées par ce genre de complications qui nécessitent une hospitalisation pour 10 millions de personnes vaccinées (entre 200 et 2000 hospitalisations en Belgique). Plus rarement, moins d’1 cas sur 10 000, encéphalomyélite, névrite, syndrome de Guillain-Barré ou encore vascularite avec insuffisance rénale : soit quand même, chaque année en France, près de 1 100 personnes qui devront également être hospitalisées (près de 200 en Belgique)...

    .    Entre 1999 et 2002, avaient ainsi été signalés au VAERS, banque de données des effets adverses des vaccins dépendant de <st1:personname productid="la FDA" w:st="on">la FDA</st1:personname> américaine, 419 effets secondaires, dont 41 hospitalisations et 11 décès, uniquement chez les enfants de moins de six ans, avec une sous-notification de plus de 90%...The American Medical Association (Jama) du 2 juin 1993, reconnaissaient une sous déclaration considérable de ces complications post-vaccinales : « Bien que <st1:personname productid="la FDA" w:st="on">la FDA</st1:personname> reçoive de nombreux rapports d'effets secondaires, ceux-ci ne représentent vraisemblablement qu'une fraction des réactions graves qui se produisent. (...) Seulement un pour cent des réactions graves sont rapportées à <st1:personname productid="la FDA" w:st="on">la FDA</st1:personname> ».

    .    In fine, par le biais du constant phénomène de commutation, quelle peut être l’incidence de ce vaccin saisonnier, comme du vaccin H1N1, sur les porteurs sains H1N1 ? 

     

     

     

    Christian RASSON                                                                                        Dr Marc VERCOUTERE

    Pharmacien

    CRI-VIE

    Coordination d’associations, de médecins, de scientifiques, de juristes,

    pour la recherche et l’information transparentes  en matière de santé

    cri-vie@neuf.fr


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  • Les Canadiens sont ambivalents face au vaccin contre la grippe A (H1N1)

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    TORONTO - Un nouveau sondage laisse croire que les Canadiens sont divisés quant à leur intention de se prémunir contre la grippe A(H1N1) lorsque le vaccin sera disponible cet automne.

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    Un nouveau sondage laisse croire que les Canadiens sont divisés quant à savoir s'ils ont l'intention de se faire vacciner contre la grippe A(H1N1) lorsque le vaccin sera disponible cet automne. ASSOCIATED PRESS/M. Spencer Green

    Seulement 45 pour cent des répondants à un sondage La Presse Canadienne-Harris-Décima ont affirmé avoir l'intention de se faire vacciner contre le virus de la grippe porcine.

    "Je pense que le sondage démontre qu'il y a une ambivalence parmi les Canadiens à propos du vaccin", a affirmé le docteur Kumanan Wilson, un scientifique de l'Institut de recherche en santé d'Ottawa qi a réalisé plusieurs études sur le courant 'antivaccination'. Je crois que les autorités de la santé publique doivent s'en inquiéter."

    "Le simple fait de disposer du vaccin contre la grippe porcine ne sera pas suffisant pour en arriver à une campagne de vaccination couronnée de succès", a-t-il renchéri.

    Au Québec, 48 pour cent des personnes interrogées ont dit qu'elles allaient se faire vacciner, alors que 44 pour cent n'en ont pas l'intention. Quarante-cinq pour cent des Ontariens sondés ont affirmé qu'ils allaient se prémunir contre la grippe porcine, comparativement à 42 pour cent n'en ayant pas l'intention.

    Le résultat obtenu à l'échelle canadienne est légèrement supérieur au pourcentage de répondants qui disent recevoir le vaccin annuel contre la grippe saisonnière. L'année dernière, par exemple, un peu moins du tiers des Canadiens ont été vaccinés contre la grippe saisonnière, selon Statistique Canada.

    Mais le résultat du sondage se situe tout de même en deçà des prévisions de l'Agence de la santé publique du Canada, qui estime que 60 pour cent des Canadiens voudront se faire vacciner contre la grippe A(H1N1), selon un sondage réalisé précédemment.

    Le taux d'efficacité des vaccins contre la grippe saisonnière est plus élevé chez les aînés et il l'est moins chez les adultes en santé.

    En revanche, le virus de la grippe porcine semble s'attaquer de préférence aux plus jeunes et épargner les plus âgés.

    Et le sondage indique que 56 pour cent des adultes âgés entre 18 et 34 ans n'ont pas l'intention de se faire vacciner contre la grippe porcine. Ainsi, si les adultes en santé sont ciblés par la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1), des efforts devront être effectués pour les convaincre.

    "Je crois que cela va être difficile à vendre", a dit le docteur Kumanan Wilson en parlant du programme de vaccination.

    Le sondage indique également que les parents pourraient avoir des inquiétudes face aux adjuvants, des composés qui augmentent la réponse immunitaire aux vaccins.

    Cinquante-six pour cent des répondants veulent faire vacciner leurs enfants contre la grippe porcine. Mais lorsqu'on leur a demandé s'ils allaient tout de même les faire vacciner si la dose contenait un adjuvant, les parents n'ont répondu par l'affirmative qu'à 35 pour cent.

    Le sondage a été mené par téléphone auprès d'un peu plus de 1000 Canadiens entre les 20 et 23 août. La marge d'erreur est de 3,1 points de pourcentage, 19 fois sur 20.


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