• Grippe A: le mythe du supervirus vendu par les laboratoires pharmaceutiques se dégonfle

    Posted By Albator On 1/9/2009 @ 7:01 In General, International, nouvel ordre mondial | No Comments

    Le virus H1N1 responsable de la pandémie de grippe porcine ne devrait pas muter et ne devrait donc pas devenir plus virulent cette saison, selon une étude sur des animaux montrant que ce nouveau pathogène ne se combine pas avec les autres souches de la grippe saisonnière.

    Utilisant des furets infectés par trois différents virus de la grippe, des chercheurs ont observé que le virus H1N1 ne se combinait pas avec les deux autres souches virales de la grippe saisonnière 2009 pour former un super-virus, selon une étude publiée ce soir.
    Le virus H1N1 s’est au contraire imposé, écartant les autres, en se reproduisant dans le corps des furets en moyenne deux fois plus rapidement, précisent les auteurs de cette étude de l’Université du Maryland (est) parue dans PLOS Currents.

    “Le virus H1N1 de la pandémie de grippe porcine prend clairement le dessus sur les deux autres principales souches de la grippe saisonnière 2009 et a toutes les caractéristiques d’un pathogène totalement adapté à l’organisme humain”, observe le virologue Daniel Perez, directeur du programme agricole de prévention et de contrôle de la grippe aviaire basé à l’Université du Maryland, et principal auteur de ces travaux.


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  • La France planifie un plan de vaccination de masse 'obligatoire'


    La France planifie un plan de vaccination de masse 'obligatoire'
    Un document interne choquant décrit les plans du Gouvernement Français pour imposer un programme de vaccination de grippe porcine de masse à l’ensemble de la population, ce programme sera mené dans les centres régionaux de vaccination et effectuée par des équipes spécialement prévues pour cela,  contournant ainsi complètement les établissements médicaux et les généralistes.

    La Ministre de la  Santé Française, Roselyne Bachelot, a déclaré à l’Associated Press la semaine dernière que la campagne de vaccination serait « volontaire, » mais elle a invité tous les résidants français à recevoir une injection quand le vaccin sera prêt à la mi-octobre. 94 millions de doses de vaccin, plus qu'assez pour couvrir une population en France de 61,5 millions d’habitants, ont été achetées pour un coût de 1 milliard d'euros et les premiers lots ont déjà été reçus.

    Cependant, un document gouvernemental interne signé par Roselyne Bachelot et par le Ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, décrit une procédure systématique pour vacciner la population entière par l'intermédiaire de « centres de vaccination» spécialement sécurisés qui seront mis en place à travers le pays et gérés par des « équipes de vaccination» travaillant par tranche de quatre heures.

    http://www.sante-jeunesse-sports.gouv.fr/IMG/pdf/Circulaire_vaccination_090824.pdf


    Selon le document, les écoliers seront également vaccinés par des équipes mobiles de vaccination qui iront d’école en école, couvrant tout le pays. Les bébés à partir de 6 mois seront également vaccinés.

    Crucialement, les généralistes et les établissements médicaux n'auront aucun rôle dans le programme de vaccination, un élément qui fait ressembler ce plan plus à une opération militaire plutôt qu'à une campagne de santé publique.

    En même temps qu’il évite la rhétorique volatile concernant les vaccinations « forcées», le document déclare que la population entière sera vaccinée sans exception, impliquant de ce fait que les injections seront obligatoires, contredisant les communiqués publics faits par la Ministre de la Santé, Roselyne Bachelot.

    Un autre aspect essentiel du document est qu'il détaille les procédures de suivi pour garder la trace de qui a pris le vaccin et qui ne l’a pas pris, information qui sera enregistré dans la Carte Vitale que tous les résidants français détiennent selon la loi. Les données seront centralisées pour identifier ces citoyens qui n'ont pas pris le vaccin.

    Selon une analyse du document posté sur theflucase.com, des « données venant des organismes d’assurance maladie seront utilisés pour s'assurer que chacun a bien reçu « l’injection toxique de grippe de porcine ». Le besoin de mettre en place des mesures pour tracer chaque individu en France pour déterminer si elles ont été vaccinées ou pas est soulignée. »

    http://www.theflucase.com /index.php?option=com_content&view=article&id=448:emergency- update-leaked-french-government-document-reveals-details-of-who-forced- mass-murder-vaccination-programme-starting-september-28th-more- soon&catid=41:highlighted-news&Itemid=105〈=en


    Le document du 21 Août publié par le Gouvernement Français semble être un plan de sang froid pour lancer l'assassinat de masse de la population française au moyen de vaccins toxiques sous couvert d’offrir une protection contre la pandémie dans un délai d’à peine quatre semaines.

    On pense que des documents semblables circulent dans chacun des 194 Etats membres de l'OMS.

    Ils sont adressés aux hauts fonctionnaires des Gouvernements à qui l’ordre est donné de préparer, superviser et coordonner l'exécution du programme de vaccination obligatoire dans leurs régions, et de mettre en place les plans adéquat d’ici la mi-septembre.

    Le grand public doit seulement être «informé» fin septembre du plan au moyen de communiqués de presse locale.

    La mise en place de centres de vaccinations à grande échelle dans des installations «protégées» rappelle froidement les camps de concentration Nazis tels que Buchenwald où des détenus ont été tués par des injections.

    Le plan français énumère en détail les tâches que les équipes de « vaccination » doivent exécuter, la disposition des centres de vaccination, l’emplacement du matériel, tels que les tables, et le nombre de vaccinations à effectuer dans un laps de temps spécifique en fonction de la taille du centre.

    Le nombre de personnes supposées être vacciné en une session de quatre heures par « une équipe de vaccination» type est de 360.

    Un «poste» de vaccination type est composé de « trois agents », un « agent » responsable de la « préparation » des vaccins, un pour les administrer et un pour enregistrer les personnes qui ont été vaccinées.

    Le document mentionne des lois françaises (article L3131-8 et article L3131-9) qui obligent le personnel médical à administrer les vaccins par décret gouvernemental ou sinon de faire face à des poursuites, un élément qui implique clairement que certains professionnels de la santé feront face à des difficultés de la part de personnes qui refuseront de prendre le vaccin.

    Comme  nous l’avons précédemment documenté, le vaccin de grippe porcine a été précipité dans les procédures de sûreté, en même temps, les gouvernements ont fourni aux entreprises pharmaceutiques l'immunité les mettant à l’abri des procès dus aux vaccins causant la mort ou des dommages.

    Il a été précédemment révélé que certains lots du vaccin contiendront du mercure, une toxine liée à l'autisme et à des désordres neurologiques. Le vaccin contiendra également le dangereux ingrédient qu’est le squalène, qui a été directement mis en cause avec des cas de Syndrome de la Guerre du Golfe et d'une multitude d'autres maladies débilitantes.

    Il a été également signalé récemment que le gouvernement Britannique a envoyé une lettre confidentielle aux experts neurologues leur disant d'être en état d'alerte concernant les cas de désordre cérébral, appelé Syndrome de Guillain-Barre (GBS), qui pourrait être déclenché par le vaccin.

    Alors que le fait que le gouvernement prévoirait de vacciner de force les populations contre leur gré est une histoire en soit choquante, avec la montée de la prise de conscience des dangers liés au vaccin non testé du H1N1, la question est de savoir si cette vaccination de masse sera finalement réussi de la manière qu’ils l’ont prévus est totalement une autre histoire.

    Les français sont connus pour chérir leur liberté personnelle et pour résister aux gouvernements imposés par la tyrannie et n’ont rien à voir avec l’apathie de leurs voisins Anglais de l’autre côté du canal. Les Français vont par habitude en grève, font des manifestations de masse de conduisent des blocus quand le gouvernement essaye de forcer par des mesures impopulaires, et la réponse à une tentative, au nom de l'état, de vacciner les gens de force contre leur gré ne sera pas différente.

    Traduction Alter Info

    http://www.infowars.com/french-government-plans-mass-swine-flu-vaccination-program/

    Mardi 01 Septembre 2009

    Source :
    http://www.alterinfo.net

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  • Grippe H1N1: des infirmières se méfient des risques d'une vaccination massive

    (AFP) – Il y a 54 minutes

    PARIS — Le Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI), affilié à la CFE-CGC, a estimé mardi que la vaccination massive de la population contre la grippe H1N1 présentait des risques, en raison de certains composants du vaccin et de tests jugés pas assez nombreux.

    "Injecter 94 millions de doses d'un produit sur lequel nous n'avons aucun recul peut poser un problème de santé publique, et il est de notre devoir d'infirmières d'informer correctement la population", a jugé le secrétaire général du syndicat, Thierry Amouroux, dans un communiqué.

    Le syndicat "craint une répétition des complications rencontrées aux Etats-Unis en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine", qui aurait augmenté les risques de maladie neurologique.

    Il souligne aussi la présence dans l'un des vaccins commandés d'un "amplificateur d'effet" qui "n'a jamais été utilisé auparavant dans un vaccin commercialisé à large échelle".

    Il pourrait "déclencher des réactions immunitaires excessives" dangereuses pour des personnes atteintes de certaines pathologies, a estimé le syndicat, jugeant qu'une vaccination massive était "une expérimentation grandeur nature".

    "La stimulation du système immunitaire par trois doses de vaccin antigrippal en quelques semaines est une nouveauté", a aussi relevé le SNPI, expliquant que les deux doses du vaccin H1N1 par personne s'ajouteraient à celle prévue contre la grippe saisonnière en septembre.

    Copyright © 2009 AFP. Tous droits réservés.


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  • Des Millions de fois plus squalène
    dans le vaccin H1N1 que dans les vaccins de la guerre du golfe
    Rense.com Exclusive Rense.com Exclusive
    From Gary Jacobucci De Gary Jacobucci
    8-25-9 8-25-9

    Dr. Laibow's presentation on squalene during the second hour of your program last night, 8-24, was impressive. La présentation du Dr Laibow sur squalène durant la deuxième heure de votre programme la nuit dernière, 8-24, a été impressionnant.  In looking for some verification of the 'million-times more squalene' than was in 'Vaccine A' that caused the catastrophic Gulf War I Illness (which ruined the lives of hundreds of thousands of troops and killed thousands of others -ed), I came across this article... Dans la recherche d'une certaine vérification de la «M-squalène fois plus" que ne l'était dans «vaccin« A »qui a causé la catastrophique guerre du Golfe I Maladie (qui a ruiné la vie de centaines de milliers de soldats et tué des milliers d'autres-ED), je suis tombé sur cet article ...

    What's The Danger of Swine Flu Vaccinations? Quel est le danger des vaccinations contre la grippe porcine?
    By Dr. Anders Bruun Laursen Par le Dr Anders Bruun Laursen

    "...So, as you see, there is no confusion with regard to swine flu and bird flu viruses. But there is another important consideration: the role of squalene. "... Donc, comme vous le voyez, il n'y a pas de confusion à l'égard de la grippe porcine et des virus de la grippe aviaire. Mais il ya une autre considération importante: le rôle du squalène.

    The average quantity of squalene injected into the US soldiers abroad and at home in the anthrax vaccine during and after the Gulf War was 34.2 micrograms per billion micrograms of water. According to one study, this was the cause othe Gulf War syndrome in 25% of 697.000 US personnel at home and abroad. (3). You can find this table of FDA analyses from the Gulf War lots on The Military Vaccine Resource Directory website (4) La quantité moyenne de squalène injecté dans les soldats américains à l'étranger et à la maison dans le vaccin contre l'anthrax pendant et après la guerre du Golfe était de 34,2 microgrammes par milliard microgrammes d'eau. Selon une étude, ce fut la cause d'Othe syndrome de la guerre du Golfe dans 25% des 697.000 personnel américain à la maison et à l'étranger (3).. Vous pouvez trouver ce tableau des analyses de la FDA des lots de la guerre du Golfe sur les militaires des vaccins Annuaire site web de ressources (4)

    a.. a.. AVA 020 - 11 ppb squalene (parts per billion) AVA 020-11 squalène ppb (parties par milliard)
    b.. b.. AVA 030 - 10 ppb squalene AVA 030 à 10 ppb squalène
    c.. c.. AVA 038 - 27 ppb squalene AVA 038 à 27 ppb squalène
    d.. d.. AVA 043 - 40 ppb squalene AVA 043 à 40 ppb squalène
    e.. e.. AVA 047 - 83 ppb squalene AVA 047 à 83 ppb squalène

    These values were confirmed by Prof. RF Garry (5) before the House of Representatives. Ces valeurs ont été confirmées par le professeur RF Garry (5) devant la Chambre des représentants. Prof Garry was the man to discover the connection between the Gulf War syndrome and squalene. Prof Garry était l'homme à découvrir les liens entre le syndrome de la guerre du Golfe et du squalène.

    According to his findings, the Gulf War syndrome was caused by squalene, which was banned by a Federal Court Judge in 2004 from the Pentagons use. Selon ses conclusions, le syndrome de la guerre du Golfe a été causé par le squalène, qui a été interdit par un juge de la Cour fédérale en 2004 de l'utilisation pentagones. (6) (6)

    As seen on p. Comme on le voit à la page 6 of this EMEA document (7), the Pandremix vaccine contains 10,68 mg of squalene per 0,5 ml. 6 du présent document de l'EMEA (7), le vaccin Pandremix contient 10,68 mg de squalène par 0,5 ml. This corresponds to 2.136.0000 microgrammes pr. Cela correspond à pr microgrammes 2.136.0000. billion microgrammes of water, ie one million times more squalene per dose than in (4). milliards microgrammes d'eau, soit un million de fois plus de squalène par dose que dans (4). There is any reason to believe that this will make people sick to a much higher extent than in 1990/91. Il n'ya aucune raison de croire que cela va rendre les gens malades à un degré bien supérieur à celui de 1990/91. This appears murderous to me." Cela semble très meurtrier pour moi. "

    http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=14851 http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=14851

    Then, in looking for some confirmation on Novartis putting gp 120 (an HIV/AIDS protein) in their vaccines, I found the following... Puis, dans la recherche d'une confirmation sur Novartis mise gp 120 (au VIH / sida en protéines) dans leurs vaccins, j'ai trouvé ce qui suit ...

    The Vaccine May Be More Dangerous Than Swine Flu The Vaccine Mai serait plus dangereux que la grippe porcine
    By Dr Russell Blaylock Par le Dr Russell Blaylock

    http://socioecohistory.wordpress.com/2009/07/15/dr-russell-blaylock- http://socioecohistory.wordpress.com/2009/07/15/dr-russell-blaylock-
    vaccine-may-be-more-dangerous-than-swine-flu/ vaccination mai-be-more-than-dangereux-grippe porcine /

    "...Novartis, the second contender, also has an agreement with WHO for a pandemic vaccine. Novartis appears to have won the contract, since their vaccine is near completion. What is terrifying is that these pandemic vaccines contain ingredients, called immune adjuvants that a number of studies have shown cause devastating autoimmune disorders, including rheumatoid arthritis, multiple sclerosis and lupus. "... Novartis, le prétendant au deuxième, a également conclu un accord avec l'OMS pour un vaccin pandémique. Novartis semble avoir emporté le marché, étant donné que leur vaccin est presque terminé. Ce qui est effrayant, c'est que ces vaccins contre la pandémie contiennent des ingrédients, appelé adjuvant immunitaire qu'un certain nombre d'études ont montré cause dévastateurs maladies auto-immunes, notamment l'arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et le lupus.

    Animal studies using this adjuvant have found them to be deadly. Les études animales utilisant cet adjuvant ont trouvé leur être mortel. A study using 14 guinea pigs found that when they were injected with the special adjuvant, only one animal survived. Une étude de l'utilisation du porc 14 Guinée a constaté que quand ils ont été injectés avec l'adjuvant spécial, un seul animal a survécu. A repeat of the study found the same deadly outcome. Une répétition de l'étude a trouvé le résultat mortel.

    So, what is this deadly ingredient? Alors, quel est cet ingrédient mortel? It is called squalene, a type of oil. Elle est appelée squalène, un type de pétrole. The Chiron company, maker of the deadly anthrax vaccine, makes an adjuvant called MF-59 which contains two main ingredients of concern-squalene and gp120. La société Chiron, fabricant du vaccin contre l'anthrax mortelles, fait un adjuvant appelé MF-59, qui contient deux ingrédients principaux sujets de préoccupation-squalène et gp120. A number of studies have shown that squalene can trigger all of the above-mentioned autoimmune diseases when injected. Un certain nombre d'études ont démontré que le squalène peut déclencher l'ensemble des maladies susmentionnées auto-immunes quand injecté.

    The MF-59 adjuvant has been used in several vaccines. These vaccines, including tetanus and diphtheria, are the same vaccines frequently associated with adverse reactions. Le MF-59 adjuvant n'a été utilisé dans plusieurs vaccins. Ces vaccins, y compris le tétanos et la diphtérie, sont les mêmes vaccins les plus fréquemment associés à des réactions indésirables.

    I reviewed a number of studies on this adjuvant and found something quite interesting. J'ai passé en revue un certain nombre d'études sur le traitement adjuvant et trouvé quelque chose d'assez intéressant. Several studies done on human test subjects found MF-59 to be a very safe immune adjuvant. Plusieurs études effectuées sur des sujets humains trouvés MF-59 à être un adjuvant immunitaire très fort. But when I checked to see who did these studies, I found-to no surprise-that they were done by the Novartis Pharmaceutical Company and Chiron Pharmaceutical Company, which have merged. Mais quand j'ai vérifié pour voir qui fait ces études, j'ai trouvé à pas une surprise, qu'ils ont été effectuées par l'entreprise pharmaceutique Novartis et Chiron Pharmaceutical Company, qui ont fusionné. They were all published in "prestigious" medical journals. Ils ont tous été publiés dans "prestigieux" les revues médicales. Also, to no surprise, a great number of studies done by independent laboratories and research institutions all found a strong link between MF-59 and autoimmune diseases. De plus, pour pas une surprise, un grand nombre d'études réalisées par des laboratoires indépendants et des institutions de recherche de toute évidence un lien étroit entre la MF-59 et des maladies auto-immunes.

    Squalene in vaccines has been strongly linked to the Gulf War Syndrome. Squalène dans les vaccins a été fortement liée au Syndrome Guerre du Golfe. On August 1991, Anthony Principi, Secretary of Veterans Affairs admitted that soldiers vaccinated with the anthrax vaccine from 1990 to 1991 had an increased risk of 200 percent in developing the deadly disease amyotrophic lateral sclerosis (ALS), also called Lou Gehrig's disease. The soldiers also suffered from a number of debilitating and life-shortening diseases, such as polyarteritis nodosa, multiple sclerosis (MS), lupus, transverse myelitis (a neurological disorder caused by inflammation of the spinal cord), endocarditis (inflammation of the heart's inner lining), optic neuritis with blindness and glomerulonephritis (a type of kidney disease). Le août 1991, Anthony Principi, secrétaire d'Anciens Combattants a admis que des soldats vaccinés avec le vaccin contre l'anthrax de 1990 à 1991 avaient un risque accru de 200 pour cent dans le développement de la maladie mortelle la sclérose latérale amyotrophique (SLA), également appelée maladie de Lou Gehrig. Les soldats également souffert d'un certain nombre de maladies débilitantes et la vie de raccourcissement, comme périartérite noueuse, la sclérose en plaques (SEP), le lupus, la myélite transverse (une maladie neurologique due à une inflammation de la moelle épinière), l'endocardite (inflammation de la paroi interne du cœur) , névrite optique de cécité et de glomérulonéphrite (un type de maladie des reins).

    The second ingredient, and one that greatly concerns me, is called gp120, a glycoprotein. Le second élément, et qui me préoccupe beaucoup, est appelée gp120, une glycoprotéine. Researchers found when it was mixed with squalene, the glycoprotein became strongly antigenic - that is, it produced a powerful and prolonged immune response to the vaccination. Les chercheurs ont découvert quand il a été mélangé avec du squalène, la glycoprotéine est devenue fortement antigéniques - qui est, elle a produit une réponse immunitaire puissante et prolongée à la vaccination. In fact, their studies show that with each dose, the intense immune reaction lasts over a year. En fait, leurs études montrent que, avec chaque dose, la réaction immunitaire intense dure plus d'un an.

    Now for the shocker-the glycoprotein-gp120, a major component of MF-59 vaccine adjuvant, is the same protein fragment isolated from HIV - the virus that is responsible for the rapid dementia seen in AIDS patients. Maintenant pour le Shocker-la glycoprotéine-gp120, un élément majeur de MF-59 adjuvant du vaccin, est le fragment de protéine même isolé du VIH - le virus qui est responsable de la démence rapide observée chez les patients atteints du SIDA.

    Studies have shown that when gp120 is taken up by the microglia cells in the brain, it causes intense inflammation and makes the brain subject to excitotoxic damage-a process called immunoexcitotoxicity. This is also the cause of the MS and optic neuritis associated with vaccines that contain MF-59. Des études ont montré que lorsque la gp120 est repris par les cellules microgliales dans le cerveau, il provoque une inflammation intense et rend le sujet du cerveau aux dommages-excitotoxiques un processus appelé immunoexcitotoxicity. C'est aussi la cause de la sclérose en plaques et névrite optique associée à des vaccins qui contiennent MF-59.

    So, how would the gp120 get into the brain? Alors, quelle serait la gp120 entrer dans le cerveau? Studies of other immune adjuvants using careful tracer techniques have shown that they routinely enter the brain following vaccination. Des études sur d'autres adjuvants immunitaire en utilisant les techniques de traçage attentive ont montré qu'ils concluent régulièrement le cerveau après la vaccination. What most people do not know, even the doctors who recommend the vaccines, is that most such studies by pharmaceutical companies observe the patients for only one to two weeks following vaccination-these types of reactions may take months or even years to manifest. Ce que la plupart des gens ne savent pas, même les médecins qui recommandent les vaccins, c'est que la plupart de ces études par des sociétés pharmaceutiques observer les patients pour seulement une à deux semaines suivant la vaccination, ces types de réactions mai prendre des mois voire des années à se manifester.

    It is obvious that the vaccine manufacturers stand to make billions of dollars in profits from this WHO/government-promoted pandemic. Novartis, the maker of the new pandemic vaccine, recently announced that they would not give free vaccines to impoverished nations-everybody pays. Il est évident que les fabricants de vaccins ont tout à gagner des milliards de dollars de profits à partir de ce OMS / gouvernement-promu pandémie. Novartis, le fabricant du nouveau vaccin pandémique, récemment annoncé qu'ils ne donneraient pas des vaccins gratuits aux pays pauvres, tout le monde paie.

    One must keep in mind that once the vaccine is injected, there is little you can do to protect yourself-at least by conventional medicine. Il faut garder à l'esprit qu'une fois que le vaccin est injecté, il ya peu, vous pouvez faire pour vous protéger, au moins par la médecine conventionnelle. It will mean a lifetime of crippling illness and early death. Elle se traduira par une durée de vie d'une maladie invalidante et une mort précoce.

    There are much safer ways to protect oneself from this flu virus, such as higher doses of vitamin D3, selective immune enhancement using supplements, and a good diet." End of excerpt by Dr. Blaylock. Il en existe bien des moyens plus sûrs de se protéger contre ce virus de la grippe, tels que des doses plus élevées de vitamine D3, l'amélioration immunitaire sélectif à l'aide des suppléments, et une bonne alimentation. "Fin de l'extrait par le Dr Blaylock.


    - Gary Jacobucci - Gary Jacobucci


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  • Grippe porcine, « une pandémie de profit », selon un thérapeute français.

    tirelire L’article qui suit circule comme une trainée de poudre sur la toile. Son auteur, l’enseignent thérapeute Jean-Pierre Chamodot y dénonce une opération de communication mensongère mondiale qui serait montée autour de la pandémie de la grippe porcine à des fins mercantiles. Selon lui, cette opération permettrait en réalité à générer de colossaux profits pour le compte de deux entreprises pharmaceutiques, dont l’une d’elles serait liée à « Donald Rumsfeld, secrétaire d’ État à la défense de Georges Bush ». Le tout, dénonce l’auteur de l’article, avec la complicité de plusieurs gouvernements et les médias.

    Pour rappel, les information contenues dans cet article n’engagent que leur auteur.

    Une pandémie de profit

    Quels sont les intérêts économiques derrière la grippe porcine ?

    Un million de personnes par an meurent de la Malaria, dans le monde, qui pourrait être prévenue avec une simple moustiquaire. Les journaux n’en parlent pas !

    Deux millions d’enfants par an meurent de la diarrhée, dans le monde, alors que l’on pourrait l’éviter avec un simple sérum qui coûte 25 centimes d’euros. Les journaux n’en parlent pas !

    10 millions de personnes pas an meurent de la rougeole, pneumonie et infirmités, alors que l’on pourrait les guérir avec de simples vaccins. Les journaux n’en parlent pas !

    Mais il y a de cela 10 ans, quand la fameuse grippe aviaire est apparue… Les journaux mondiaux nous ont inondé d’informations à ce sujet…

    Une épidémie, la plus dangereuse de toutes… Une Pandémie!

    On ne nous parlait que de la terrifiante maladie des volatiles. Et pourtant, la grippe aviaire a à peine causé la mort de 250 personnes, en 10 ans… 25 morts par an. La grippe commune, tue un demi million de personnes par an, dans le monde. Un demi million contre 25!

    Un moment… Un moment s’il vous plait!

    Alors, pourquoi il y a t-il eu tant de scandale et de bruit autour de la grippe aviaire ? Parce que derrière les poulets il y avait un “Coq”, un coq à grande crête. L’entreprise pharmaceutique internationale ROCHE avec son fameux Tamiflu vendu à des millions de doses aux pays asiatiques.

    Bien que l’efficacité du Tamiflu soit douteuse, le gouvernement britannique en a acheté pour 14 millions de doses pour protéger sa population. Grâce à la grippe aviaire, ROCHE et RELENZA, les deux plus grosses entreprises pharmaceutiques qui vendent les antiviraux, ont obtenu des millions de dollars de bénéfices. Avant avec les oiseaux et maintenant avec les porcs.

    Eh oui! Maintenant commence la psychose avec la grippe porcine. Et tous les journaux du monde ne parlent que de çà. Et je me demande: si derrière les poulets il y avait un “Coq”… N’y aurait-il pas derrières les cochons un “Gros Porc”?

    L’entreprise nord-américaine Gilead Sciences détient le brevet du Tamiflu. Le principal actionnaire de cette entreprise n’est autre que le sinistre, Donald Rumsfeld, secrétaire d’ État à la défense de Georges Bush, l’artisan de la guerre contre l’Irak…

    Les actionnaires des entreprises pharmaceutiques ROCHE et RELENZA doivent se frotter les mains, ils doivent être heureux avec les millions de nouvelles ventes du Tamiflu.

    La véritable pandémie est celle de l’argent, les énormes bénéfices de ces mercenaires de la santé.

    Je ne nie pas les précautions nécessaires qui sont entrain d’être prises par les pays du globe. Mais si la grippe porcine est une pandémie aussi terrible que l’annonce les médias. Si l’OMS se préoccupe tant de cette maladie, pourquoi elle ne la déclare pas comme un problème de santé public mondial et autorise la fabrication de médicaments génériques pour la combattre ?

    Se passer des brevets des entreprise pharmaceutiques ROCHE et RELENZA et distribuer les médicaments génériques gratuitement à tout les pays, et plus particulièrement aux plus pauvres. Ce serait la meilleure solution.

    Jean-Pierre Chamodot – Enseignant Thérapeute
    (source : inventerre.canalblog.com)


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  • La télé publique allemande critique le business de la grippe A, l’inefficacité du Tamiflu et les pressions…

    Posted By Albator On 28/8/2009 @ 1:20 In General, International |

    DEU VOGELGRIPPE TAMIFLUDans les pages de Pharmacritique, il y a déjà nombre de comparaisons entre le journalisme allemand et celui français, qu’il s’agisse de médias généralistes ou de médias médicaux indépendants travaillant sur les mêmes sujets (Arznei-Telegramm et Prescrire, par exemple). Force est de constater que chaque comparaison est en faveur du travail allemand.

    Voici encore quelque chose dont on n’entend pas parler dans les médias français, qui ne font qu’entretenir l’hystérie autour de la grippe A… En France, même les rarissimes médias indépendants ont l’impression de faire du bon travail en restant dans une sorte de neutralité qui n’est que l’alibi d’une investigation non faite…

    Je ne prendrai qu’un exemple, résumant le contenu du numéro du 6 août 2009 de l’émission « Kontraste », diffusée sur ARD, la première chaîne publique de télévision allemande, que les germanophones peuvent revoir sur YouTube. On y apprend beaucoup de choses, que ce soit sur l’inefficacité du Tamiflu ou encore sur les pressions exercées par Roche sur les politiques pour l’achat massif de cet antiviral, pressions qui ne sont pas très éloignées du chantage.

    A propos, « Kontraste » a 41 ans, et la revue Arznei-Telegramm – « Télégramme du Médicament », principale référence de Pharmacritique – en aura 40 à l’automne. Manifestement, les Allemands n’ont pas un Nicolas Sarkozy qui déprogramme toute émission critique et s’offre la presse sur un plateau pour mieux la museler… Pharmacritique leur souhaite bonne continuation ! Pour que nous ayons, nous aussi en France, des informations indépendantes en regardant ce qu’ils font. (Exagéré ? A peine. Regardons le Gardasil. Silence français, y compris de Prescrire, pour laquelle il s’agit d’un « pari raisonnable » ( !), versus excellentes analyses allemandes).

    Si on regarde de près, l’émission n’a rien d’un brûlot révolutionnaire. C’est simplement du service public : des journalistes qui font leur travail, vont au-delà de la reproduction des communiqués des autorités sanitaires et des experts grevés de conflits d’intérêts et posent les questions qui dérangent : quant à une grippe A bien plus inoffensive que la grippe habituelle de chaque hiver, quant à un Tamiflu inefficace, quant à des politiques totalement ignorants, versant sans vergogne dans la démagogie et le populisme et légitimant le business des laboratoires. Au premier plan desquels figure Roche, le producteur du Tamiflu, dont les méthodes sont pour le moins cassantes…

    Tout le monde stocke du Tamiflu pour traiter une éventuelle grippe porcine devenue pandémique. Mais le Tamiflu est-il efficace ?

    Roche est GSK sont les vrais gagnants dans ce qu’il faut qualifier l’ « affaire » de la grippe A. (C’est à GSK que l’Allemagne a commandé de quoi vacciner autour de 20 millions de personnes contre la grippe A H1N1…) Et le directeur de la revue Arznei-Telegramm – toujours en première ligne, chapeau ! – nous apprend que Roche a pratiquement fait chanter les autorités allemandes… Une histoire de gros sous.

    Le reportage commence par démystifier la grippe A (Schweinegrippe – grippe porcine) et dénoncer la surenchère médiatique : la panique semée dans la population par l’annonce d’une deuxième vague de grippe A, plus agressive, qui se déverserait sur le pays à l’automne, de même que la peur de ne pas pouvoir bénéficier du vaccin ou du Tamiflu, faute de quantités suffisantes.

    Panique et peur entretenues par l’OMS et ses alertes à la pandémie.

    Mais la bulle médiatique enfle aussi d’elle-même, comme on le voit lorsque les journalistes d’ARD interviewent un jeune homme qui a été infecté par la grippe A. Un pisse-copie d’un tabloïd avait décrit son état comme grave, nécessitant une hospitalisation. Avec en une, des titres du genre : combien de gens ce virus va-t-il encore tuer? Or l’homme en question n’a jamais été hospitalisé ; il dit d’ailleurs que la grippe A – fièvre, frissons et sueurs nocturnes – n’était rien par rapport à ce qu’il avait pu vivre par le passé avec une grippe hivernale habituelle (grippe saisonnière), qui l’avait cloué deux semaines au lit. Les médecins l’ont traité d’une façon qui montre bien que le monde médico-pharmaceutique marche sur la tête : on lui a prescrit du Tamiflu alors qu’il était déjà guéri…

    Tamiflu ressuscité, sans preuve de son efficacité. Et des souches virales résistantes

    Le professeur de pharmacologie Bernd Mühlbauer, de l’Institut de pharmacologie de Brème, met en garde contre les attentes illusoires quant au Tamiflu (oseltamivir) et affirme qu’il n’y a jamais eu la moindre preuve que ce médicament ait jamais empêché un seul décès dans une quelconque forme de grippe. Cet antiviral a pourtant été largement utilisé lors de la grippe aviaire, mais on ne sait toujours pas s’il a eu une quelconque efficacité dans ces cas-là non plus. Ou encore s’il a vraiment réduit le nombre de complications graves de la grippe, telles les pneumonies, ou a du moins été bénéfique dans leur traitement.

    Il y a beaucoup de promesses vides, d’une part, et beaucoup d’exagérations, d’autre part. Et les experts qui en font la promotion – le dispositif de marketing médico-pharmaceutique dans son ensemble, en réalité – ne parlent ni des effets secondaires ni du fait que beaucoup de souches virales sont devenues résistantes au Tamiflu, comme le montrent les nouvelles données des Etats-Unis et d’Allemagne. Pour le Pr Dirk Stichtenoth (Faculté de médecine de Hanovre), cette évolution est inquiétante. Les données de la dernière saison de grippe montrent que l’une des souches les plus importantes de grippe est à 90% résistante au Tamiflu – une augmentation dramatique par rapport à la saison précédente. Or la souche H1N1 est très proche de celles devenues résistantes. Il faut dire clairement qu’il est actuellement impossible d’évaluer l’efficacité du Tamiflu, et qu’on n’a aucune idée s’il aura le moindre effet chez les patients atteints de grippe A. Tout ce qu’on sait vient des données de laboratoire, et on ne dispose pas d’essais cliniques chez les êtres humains.

    Les politiques : mélange d’ignorance volontaire et de discours trompeur

    Malgré tout cela, les länder allemands continuent à baser leur stratégie de prévention de la grippe A sur le Tamiflu. Les hommes politiques ne disent pas que le Tamiflu n’est pas le remède miracle, et on a l’impression qu’ils ne veulent pas vraiment savoir ce qu’il en est. Dans leur volonté de donner l’impression qu’ils agissent, qu’ils maîtrisent une situation sous contrôle, ils font passer un message trompeur sur la sécurité qu’apporterait le Tamiflu. La sénatrice berlinoise Katrin Lompscher (Die Linke [à peu près l’équivalent de la Nouvelle gauche]), en charge de la santé, reconnaît qu’elle ne connaît pas les données médicales, mais dit faire confiance aux experts…

    Et les politiques dans leur ensemble s’en tiennent aux recommandations de l’Institut Robert Koch – chargé des maladies infectieuses et des vaccinations -, qui ne jure que par le Tamiflu, comme on le voit dans les déclarations de son président, le Pr Jörg Hacker. Celui-ci noie le poisson, n’affirme pas l’efficacité de l’antiviral, mais dit simplement qu’en situation de crise, il faut utiliser le seul médicament – la seule classe de médicaments – qui « porte la promesse d’un espoir de guérison ».

    Promesses et espoirs – voilà les fondements très scientifiques et très rationnels des recommandations qui nous sont faites et de cet immense gaspillage des deniers publics, qui ne bénéficie jusqu’à preuve du contraire qu’à l’industrie pharmaceutique… Et les journalistes de déplorer que la question de l’efficacité du Tamiflu, donc de l’opportunité de ces dépenses ne fasse pas l’objet d’un débat public.

    Alors que cette épidémie de grippe A est clairement moins grave qu’une épidémie de grippe « normale », saisonnière, les autorités sanitaires nationales et internationales recommandent partout le traitement massif par Tamiflu, ce qui est absurde, puisque les prescriptions massives sont précisément la cause de la résistance des souches virales…

    Le directeur de la revue médicale indépendante Arznei-Telegramm, le Dr Wolfgang Becker-Brüser, proteste contre toutes ces absurdités médico-pharmaceutiques et médiatiques et contre l’énorme gaspillage d’argent public qu’est l’achat de quantités industrielles de Tamiflu. A Comme ses confrères cités précédemment, il rappelle lui aussi qu’aucune donnée sérieuse n’existe quant à l’efficacité de ce médicament en traitement de la grippe A ou en prévention de ses éventuelles complications. Comment peut-on jeter l’argent par les fenêtres, sans aucune preuve sérieuse de l’efficacité du Tamiflu ?

    On réalise l’incommensurable pouvoir d’une firme pharmaceutique…

    Le laboratoire Roche est le vrai gagnant dans cette histoire. Il empoche des bénéfices gigantesques depuis « l’hystérie autour de la grippe aviaire », et fait ce qu’il faut pour continuer à les faire.

    Après la panique autour de la grippe aviaire et avant la grippe A, les ventes de Tamiflu ont connu une forte baisse, précisément parce que des chercheurs se sont rendu compte que de plus en plus de souches de virus étaient résistantes à cet antiviral qui avait été développé comme traitement de certaines souches de grippe saisonnière.

    Les jours du Tamiflu étaient comptés.

    Mais le laboratoire a bien entendu profité de l’hystérie de la grippe porcine. Depuis que l’OMS a lancé le niveau 4 d’alerte, Roche a fait pression sur les autorités allemandes pour qu’elles achètent du Tamiflu. Les journalistes de « Kontraste » affirment, sur la base d’un échange de courriels entre le laboratoire et le ministère fédéral de la santé, que Roche a donné des délais stricts pour l’acceptation de son offre et a menacé plus ou moins directement de ne rien livrer si jamais la commande n’était pas faite immédiatement. (C’est-à-dire avant que des équipes médicales puissent analyser l’efficacité du Tamiflu chez les personnes touchées par la grippe A, donc avant que des responsables politiques puissent réfléchir sur la base d’expertises indépendantes). Lorsque la pandémie a atteint le niveau 5 d’alerte selon l’OMS, les pressions de Roche sur le ministère se sont renforcées. Il est quand même étonnant de voir une firme pharmaceutique envoyer un beau matin un courriel disant : « les länder ont jusqu’à 15 heures [le jour même] pour passer commande ».

    Cela revient à « mettre le couteau sous la gorge » des autorités : un comportement inacceptable, contraire à l’éthique et indigne d’une firme pharmaceutique responsable, selon le Dr Becker-Brüser.

    Où sont les coups de gueule équivalents de Prescrire ? Ou s’agit-il là encore d’un « pari raisonnable » à ses yeux, comme dans le cas du Gardasil de Sanofi Pasteur MSD, qui vide, lui aussi, les poches des contribuables sans aucun fondement scientifique digne de ce nom ? Est-il éthique et déontologique de faire des paris en santé ? Pourquoi cette revue perd-elle tout sens critique lorsqu’il s’agit de vaccins ?

    Article de Pharmacritique [1]


    Article printed from AMI France: http://fr.altermedia.info

    URL to article: http://fr.altermedia.info/general/la-tele-publique-allemande-critique-le-business-de-la-grippe-a-l%e2%80%99inefficacite-du-tamiflu-et-les-pression_25661.html

    URLs in this post:

    [1] Pharmacritique: http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/08/25/la-tele-publique-allemande-critique-le-business-de-la-grippe.html


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  • Remède naturel contre la grippe A

     

    Remède naturel contre la grippe A

    Il a fait la couverture du quotidien USA Today, juste dans une sous-rubrique déclarant que Michael Jackson a effectivement perdu la vie par un surdosage : La « grippe pourrait infecter la moitié des Etats-Unis. » L'article poursuit en donnant une estimation du nombre de décès prévus aux États-Unis (30.000 - 90.000) et donne le détail des actions prises par le gouvernement pour protéger les Américains contre la prochaine pandémie de grippe porcine.

    Les recommandations se présentent sous forme d’une sorte de bande dessinée pour enfants : Lavez-vous les mains, couvrez votre bouche si vous toussez et laissez « les adultes » prendre soin du reste en vous injectant le vaccin. Curieusement absent de toutes recommandations de santé distribuées sur la grippe porcine par la Maison Blanche, le CDC, l'OMS et même le FDA, aucune mention n’est faite sur la vitamine D ou autres remèdes naturels qui offrent d'énormes protections contre les infections de grippe.

    En 1981, R. Edgar Hope-Simpson a émis la remarque qu’« un stimulus saisonnier » intimement lié au rayonnement solaire expliquerait le caractère saisonnier observable de la grippe épidémique. Le rayonnement solaire déclenche la production saisonnière robuste de vitamine D dans la peau ; l'insuffisance de vitamine D est quelque chose de commun en hiver, et la vitamine D active, 1,25(OH)2D, une hormone stéroïdale, exerce des effets profonds sur l'immunité humaine. 1,25(OH)2D agit comme un modulateur du système immunitaire, empêchant l'expression excessive des cytokines inflammatoires et augmentant le potentiel « d'éclat oxydant » des macrophages. Peut-être d'une manière plus importante, il stimule nettement l'expression des peptides antimicrobiens efficaces, qui existent dans les neutrophiles, les monocytes, les cellules tueuses naturelles, et en cellules épithéliales rayant les voies respiratoires où ils jouent un rôle important en protégeant le poumon contre l'infection. Les volontaires inoculés avec le virus de grippe atténué sont plus à même de développer la fièvre et des symptômes sérologiques d'une réponse immunitaire pendant l'hiver. L'insuffisance de vitamine D prédispose les enfants aux infections respiratoires. Le rayonnement ultraviolet (des sources artificielles ou de lumière du soleil) réduit l'incidence des infections respiratoires virales, de même que fait l'huile de foie de morue (qui contient la vitamine D). Une étude a prouvé que la vitamine D réduit l'incidence des infections respiratoires chez les enfants. Nous concluons que la vitamine D, ou le manque de vitamine Di, pourrait être le stimulus « saisonnier » de Hope-Simpson.

    Traduction Alter Info

    http://www.naturalnews.com/026921_Vitamin_D_influenza_swine_flu.html


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  • Grippe : des membres du personnel de santé peu enclins à se faire vacciner

    PARIS - La moitié des travailleurs de la santé de Hong Kong se refuseraient à être vaccinés contre la grippe H1N1, craignant des effets secondaires et doutant de l'efficacité de la vaccination, selon une enquête publiée mercredi sur l'internet par le British Medical Journal.

    2.255 personnes -médecins, infirmiers et autres professionnels de santé- travaillant dans 31 départements hospitaliers de Hong Kong ont répondu aux questionnaires proposés pour cette enquête, réalisée sous la houlette du Pr Paul Chan, de l'Université chinoise de Hong Kong et réalisée en mars et mai 2009.

    En mars, le questionnaire portait sur la seule grippe aviaire (H5N1), alors en phase 3 d'alerte, d'après la classification de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). En mai, il portait aussi sur la grippe H1N1, alors au stade d'alerte 5 (prépandémique).

    Pour la grippe aviaire, seules 28,4% des personnes qui ont répondu au questionnaire en mars auraient accepté de se faire vacciner. Le chiffre était de 34,8% en mai.

    En mai, pour la grippe H1N1, 47,9% des personnes qui ont répondu à l'enquête ont dit qu'elles seraient d'accord pour être vaccinées. Parmi les personnes qui refusaient, la raison invoquée était le plus souvent la peur des effets secondaires, suivie par le manque d'efficacité de la vaccination.

    Les personnes souhaitant se faire vacciner contre le virus H1N1 étaient des gens plutôt plus jeunes et ayant été vaccinés contre la grippe saisonnière en 2008/2009.

    Aussi bien pour l'OMS que pour les pays ayant mis en place un plan de préparation à la grippe, les membres du personnel de santé sont en général au premier rang des gens prioritaires pour être vaccinés, vu le risque plus élevé qu'ils courent d'être contaminés et l'importance de leur rôle en cas de pandémie de grippe, rappelle l'étude.

    (©AFP / 26 août 2009 01h00)


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  • Lisez bien avant de vous faire inoculer ce vaccin contre la grippe.

    Par Tricia, lundi 24 août 2009 à 17:18 dans Général / Général
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    Le vaccin anti grippe ! Immunité totale en cas de poursuite judiciaire aux fabricants en cas de complication ! Lisez bien ! Tout cela me paraît une fumisterie destinée à enrichir toujours les lobbys !

    La secrétaire d’Etat U.S. à la santé, Kathleen Sebelius, vient de signer un décret conférant une totale immunité aux fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire. De plus le programme accéléré - de 7 milliards de dollars - pour la fabrication du vaccin qui devra être mis sur le marché à l’automne ne prévoit pas de test de sécurité. Y aurait-il un programme sous-jacent à l’officielle et hystérique campagne de l’OMS destinée a élever la prétendue grippe porcine au rang de pandémie ? Tout d’abord, ni l’OMS ni le CDC ni aucune instance scientifique n’a produit de preuve quant à l’existence de ce nouveau virus H1N1, virus qui devrait être isolé, caractérisé et photographié par un microscope électronique en vertu des procédures scientifiques habituelles lorsqu’il existe un danger de pandémie. L’actuelle panique provoquée par campagne officielle sur les dangers supposés de la grippe porcine prend des allures de roman de science-fiction Orwellien. Le décret signé par Sebelius accorde l’immunité à ceux qui fabriquent le vaccin contre la grippe porcine conformément aux dispositions de la loi 2006 sur les urgences de santé publique. Un SAGE peu sage Sur recommandation du « Comité consultatif mondial sur la sécurité vaccinale » à l’Organisation Mondiale de la Santé ( OMS ) à Genève, l’OMS a déclaré que le H1N1 était en phase 6 , stade de la pandémie, activant ainsi un programme d’urgence qui pourrait être mis en place même dans des pays comme l’Allemagne où les cas « supposés » de contamination au H1N1 se comptent sur les doigts d’une seule main. Depuis 2005, le directeur (1) du SAGE ( Comité consultatif mondial sur la sécurité vaccinale à l’OMS ) est le Docteur David Salisbury, responsable du groupe de vaccination et des maladies infectieuses au Ministère de la santé du gouvernement britannique. Dans les années 80, le Dr Salisbury a été sévèrement critiqué pour avoir mené une campagne massive de vaccination des enfants avec le vaccin ROR ( rougeole-oréillon-rubéole ) fabriqué par le prédécesseur de GlaxoSmithKline. Ce vaccin fut retiré du marché japonais après que des effets secondaires aient été constatés chez de nombreux enfants vaccinés. Le gouvernement japonais a été obligé de payer d’importantes indemnités aux victimes. En Suède, le vaccin ROR de GlaxoSmithKline fut retiré de la circulation après que des scientifiques aient établi le liens entre le vaccin et la maladie de Crohn. Apparemment ces éléments n’ont guère perturbé le directeur du groupe SAGE de l’OMS, le Dr Salisbury Selon un chercheur britannique indépendant, Alan Golding qui a obtenu les documents sur ce cas, en 1986, Trivirix, un vaccin combiné ROR contenant une souche vaccinale d’oreillons Urabe AM-9 fut introduit au Canada en remplacement du MMR I. Les inquiétudes concernant l’introduction de ce vaccin en Grande-Bretagne ont été consignées le 26 juin, dans le compte rendu du Groupe de liaison pour le « Groupe de travail de l’Association des pédiatres britanniques » et le « Comité sur la vaccination et l’immunisation ». Inquiétudes fondées car les rapports ont mis en évidence une augmentation de méningites aseptique chez les individus vaccinés. Tous les vaccins ROR contenant la souche Urabe ont été retiré du marché canadien en 1988, c’est à dire bien avant que les vaccins contenant cette souche soient homologués par le Ministère de la santé britannique et utilisé au Royaume-Uni. Les rapports ajoutent que Smith-Kline & French, devenue Smith-Kline-Beecham et qui à l’époque étaient impliqués dans la production anglaise, étaient préoccupés par les questions de sécurité et hésitaient à demander une licence britannique pour leur vaccins contenant la souche Urabe. Leurs préoccupations concernant les possibles préjudices d’un de leurs produits sur les enfants, les conduisit à demander au gouvernement britannique de les garantir contre toute action en justice résultant d’un dommage lié au vaccin. Sur les conseils du Dr Salisbury et des représentants du ministère de la santé, le gouvernement britannique, enthousiaste à l’idée d’obtenir des vaccins bon marché, donna son accord. Aujourd’hui, le même Dr Salisbury promeut l’usage du vaccin, non testé, H1N1 également produit par la même entreprise qui s’appelle maintenant, GlaxoSmithKline. La dernière intox sur la grippe porcine C’est en 1976, que le gouvernement des USA fut confronté pour la dernière fois à un nouveau virus de grippe porcine. Il y eut une campagne nationale de vaccination à la suite de laquelle des milliers de personnes ont demandé des dommages et intérêts alléguant qu’elles avaient subi des effets secondaire dus à la vaccination. Cette fois-ci le gouvernement a pris des mesures pour empêcher tout procès intenté par les milliers de citoyens américains qui souffriront des sévères complications dues aux vaccins non testés. L’histoire s’assombrit maintenant que l’Administration Obama a signé le document conférant l’immunité en cas de poursuites judiciaires. La FDA ( Food and Drug Administration ) américaine et les autorités sanitaires au Royaume-Uni ont décidé de laisser l’industrie pharmaceutique introduire sur le marché les vaccins sans que leurs possibles effets secondaires ne soient évalués. Les premières doses de vaccins seront délivrées au public avant que leur innocuité et leur efficacité ne soit avérées. Les vaccins non testé sont délivrés en deux doses. Une des marques de vaccin contiendrait un additif chimique - adjuvant - afin de renforcer l’effet, augmentant dramatiquement le potentiel d’effets secondaires. Les enfants seront en première ligne et pourraient être vaccinés un mois avant que les résultats des essais ne soient connus. En Grande-Bretagne, les services de santé du gouvernement se sont préparés pour un scénario qui prévoit, durant l’hivers, 65 000 décès dont plusieurs milliers d’enfants. Le gouvernement britannique a commandé 132 millions de doses de vaccins aux fabricants Baxter et GlaxoSmithKline qui ,dans la perspective d’une pandémie, ont obtenu par avance une licence pour trois « bases » de vaccins, alors même que l’OMS et les épidémiologistes nous disent que nous ne pouvons pas nous préparer à l’avance du fait d’une possible et inquiétante mutation de l’actuel et si peu dangereux H1N1. Curieusement, un an avant que le premier cas de la prétendue grippe porcine ne soit décelé, la plus grande firme pharmaceutique Baxter, a déposé un brevet pour un vaccin contre le H1N1 : Brevet US 2009/0060950 A1 qui stipule « la composition ou vaccin composé de plus d’un antigène ... comme la grippe A et B en particulier prélevé sur un ou plus des types humains de H1N1, H2N2, H3N2, H5N1, H7N7, H1N2, H9N2, H7N2, H7N3, H10N7, de grippe porcine H1N1, H1N2, H3N1 and H3N2 sous-type, de la grippe du chien ou du cheval H7N7, H3N8 sous-type ou de la grippe aviaire H5N1, H7N2, H1N7, H7N3, H13N6, H5N9, H11N6, H3N8, H9N2, H5N2, H4N8, H10N7, H2N2, H8N4, H14N5, H6N5, H12N5 sous-type." La demande de brevet précise : « des adjuvants appropriés peuvent être choisis à partir de gels minéraux, d’hydroxyde d’aluminium, d’agents de surface, de lysolecithin, de pluronic polyols, de polyanions, ou d’émulsions d’eau et d’huile. Bien sûr la sélection de l’adjuvant dépend de l’utilisation. Par exemple la toxicité dépend de l’organisme auquel le produit est destiné et peut varier d’une toxicité nulle à une toxicité élevée. » En l’absence de toute responsabilité juridique se pourrait-il que Baxter se prépare à vendre des millions de doses de vaccins contenant un adjuvant hautement toxique tel que l’hydroxyde d’aluminium ? Il serait peut-être temps de demander à tous les responsables de l’OMS, du SAGE, du CDC et des membres de l’Administration Obama, d’être les premiers à se faire inoculer la dose entière de vaccin H1N1 qui sera distribuée au public. Nous devrions ajouter à la liste des premiers vaccinés, tous les membres du Congrès qui ont voté l’allocation d’urgence de 7 milliards de dollars et qui ont entériné l’immunité accordée aux firmes pharmaceutiques dans l’éventualités de procès. La population n’a pas à servir de cobaye pour les essais d’un nouveau vaccin. Nous pourrons observer les résultats. Le même principe doit s’appliquer à tous les gouvernements et organismes de santé qui demandent à leurs citoyens d’expérimenter les vaccins H1N1 de GlaxoSmithKline ou de Baxter, afin de vérifier leur innocuité. Et l’OMS cessa de surveiller le H1N1 Un autre élément indique, qu’avec ce scénario alarmiste de l’OMS, on nous prend pour des imbéciles. L’OMS elle même, l’organisation mondiale chargée de surveiller les foyers de ce que l’on nomme pandémies, voire même « pandémies mondiale » ( sic ) vient juste de décider d’arrêter le suivi de l’évolution de la grippe porcine ( ou de virus H1N1 comme on préfère l’appeler maintenant afin de ne pas froisser les producteur de porcs) Dans une note d’information, déroutante, postée sur son site web, l’Organisation Mondiale de la Santé indique qu’il n’est plus nécessaire de recenser les cas de H1N1. La dernière mise à jour de l’OMS, en date du 6 juillet, indique 94 512 cas confirmés dans 122 pays, dont 429 décès. Apparemment l’OMS affirme que le nombre de cas confirmés en laboratoire est insignifiant. La note précise que les pays continueront à notifier les premiers cas confirmés. il est également indiqué que les pays doivent suivre les groupes de cas graves ou mortels qui peuvent indiquer une mutation du virus vers une forme létale. Il est dit qu’il faut « être vigilant » en cas d’augmentation d’absentéisme scolaire ou d’augmentation du nombre de consultation dans les services d’urgences. Le « Centre de contrôle et de prévention des maladies »( CDC ) d’Atlanta est d’accord avec l’OMS pour arrêter le décompte. Le Docteur Michael T. Osterholm, directeur du « Centre de recherche sur les maladie infectieuses de l’Université du Minnesota », admet que les tests existants pour confirmer le H1N1 sont empiriques et peu sûrs et affirme : « de mauvaises mesures sont pires que pas de mesures du tout ». Ainsi l’OMS a décidé de supprimer les tests qui de toutes façons ne permettent pas de déterminer scientifiquement qui est atteint du H1N1 et qui ne l’est pas. Et ainsi ils ont décidé de supprimer le décompte des résultats des tests, mais aussi des cas de grippe H1N1, avec pour tout commentaire : « nous présumons que presque tous les cas sont des cas de grippe porcine H1N1 ». Et c’est sur des bases aussi scientifiques que celles-là que nous devons faire vacciner nos jeunes ? Stop là ... pas avec nos enfants.


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  • Militarisation de la santé publique et grippe H1N1
    Par Michel Chossudovsky
    Le 21 aout 2009

    Nous publions ici la deuxième partie de l'article en anglais «Martial Law and the Militarization of Public Health : The Worldwide H1N1 Flu Vaccination Program ». Pour lire la première partie, «Loi martiale et militarisation de la santé publique : le programme mondial de vaccination contre la grippe H1N1» cliquez ici..


    La grippe aviaire de 2005 est survenue à peine un mois après l’ouragan Katrina. Elle a été présentée au public comme une question de sécurité nationale. À la suite de l’épidémie de grippe aviaire de 2005, la président Bush a confirmé que l’armée serait fortement impliquée advenant une pandémie et qu’elle aurait l’autorité de détenir  un grand nombre de personnes :

    « Je suis préoccupé par la grippe aviaire. Je suis préoccupé par ce qu'une épidémie de grippe aviaire représenterait pour les États-Unis et le monde. […] J ai réfléchi aux différents scénarios d’une épidémie de grippe aviaire et à ce qu'elle signifierait […]

    Il est difficile pour un président de décider de politiques concernant une épidémie de grippe aviaire.


    Si nous avions une épidémie quelque part aux États-Unis, ne mettrions-nous pas alors cette partie du pays en quarantaine? Et comment pouvons-nous ensuite faire respecter cette quarantaine?


    ... Une option serait d’utiliser une armée capable de planifier et de se déplacer. Voilà pourquoi j’ai mis cette option sur la table. Il s’agit d’un débat important pour le Congrès.


    ... Mais le Congrès doit voir si des circonstances peuvent nécessiter que l'on confère au président le pouvoir d'aller au-delà du débat. Une telle catastrophe ou un tel défi pourrait être une épidémie de grippe aviaire. (The Pandemis Preparedness and Response Act, Conférence de presse de la Maison-Blanche, 4 octobre 2005, c'est nous qui soulignons)

     

     

     

    Le jour suivant la conférence de presse du président Bush le 4 octobre 2005, une importante mesure législative a été proposée au Sénat étatsunien: The Pandemic Preparedness and Response Act.


    Même si cette dernière n'a jamais été adoptée, elle a néanmoins contribué à créer un consensus chez les membres clés du Sénat.

    La militarisation de la santé publique a été incorporée par la suite dans le John Warner Defense Authorization Act de 2007.


    L'« Urgence en santé publique» et la loi martiale : Le John Warner Defense Authorization Act of 2007. H.R. 5122


    On conçoit une nouvelle législation. Les termes « épidémie » et « urgence touchant à la santé publique » sont inclus explicitement dans une mesure législative clé, promulguée par le président Bush en octobre 2006.


    Perdue au beau milieu de centaines de pages, la Public Law 109-364, mieux connue sous le nom de John Warner Defense Authorization Act of 2007" (H.R.5122) comprend une section spécifique sur le rôle de l'armée lors d'urgences nationales.


    La section 1076 de cette législation intitulée « Emploi des forces armées dans les situations d'urgence » permet au président des États-Unis de déployer les Forces armées et la Garde nationale à travers les États-Unis afin de « restaurer l’ordre public et faire appliquer la loi des États-Unis » en cas de « désastre naturel, d’épidémie ou autre urgence touchant à la santé publique » :
     

     

        SEC. 1076. EMPLOI DES FORCES ARMÉES DANS LES SITUATIONS D’URGENCE.

     

        (a) Emploi des forces armées autorisé-

     

        (1) GÉNÉRALITÉS- Section 333 du titre 10, United States Code, est amendé :

     

        `Sec. 333. Situations d’urgence; immixtion dans la loi étatique et fédérale

     

        `(a) Emploi des Forces armées en cas d’urgence- (1) Le président peut employer les Forces armées, incluant la Garde nationale pour les services fédéraux, pour –

     

        `(A) restaurer l’ordre public et faire appliquer les lois des États-Unis suite à un désastre naturel, à une épidémie ou à d’autres situations touchant à la santé publique, à une attaque terroriste, à un incident ou toute autre situation dans tout État ou possession des États-Unis lorsque le président détermine que--

    La suite ici :

    http://mondialisation.ca/PrintArticle.php?articleId=14875


     



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  • Tamiflu et vaccin

     


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  • La grippe du Pentagone



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  • LE MIRAGE DU VACCIN

     

    En commandant 94 millions de doses pour vacciner les Français contre la grippe A, le gouvernement impressionne, mais il n'empêchera pas la pandémie. Et pour cause : le vaccin ne sera pas prêt pour la rentrée. Enquête
    Au début, tout paraissait simple. La planète infestée par un nouveau virus grippal à la progression foudroyante ? On a déjà connu ça. Mais cette fois - une première ! -, le virus, on l'a vu venir. On a suivi ses avancées planétaires. «Aucune pandémie antérieure n'a été décelée aussi tôt, ni surveillée d'aussi près en temps réel, dès le début», déclarait début juin Margaret Chan, directrice générale de l'OMS. Grâce à cette «longueur d'avance», on allait pouvoir réagir, en particulier à coups de vaccin. Rien de plus facile que de fabriquer des vaccins antigrippaux dès lors que l'on dispose de la souche virale. Celle du nouveau virus A/H1N1 a été distribuée fin mai aux laboratoires, sous sa forme officielle, homologuée et prête à l'emploi - c'est-à-dire après l'indispensable manipulation génétique qui rend les virus cultivables in vitro. Dans un communiqué du 27 mai accusant réception de la souche, Sanofi- Pasteur se donnait «un délai d'environ deux semaines» avant d'être «prêt à débuter la production industrielle sur demande des autorités de santé». Dès le 30 mai, il est vrai sans citer ses sources, «le Journal du dimanche» proclamait : «La France prépare un plan de bataille sans précédent pour cet automne avec, à la clé, une campagne de vaccination obligatoire pour tous les Français déplus de 3 mois, pour un coût total d'un milliard d'euros.» Bigre !
    Difficile de blâmer un gouvernement d'avoir songé à protéger sa population contre un fléau aux dégâts imprévisibles. On n'avait pas réussi à stopper aux frontières les nuages de Tchernobyl, mais le virus A/H1N1, pourquoi pas ? Toutefois, il y a loin du tintamarre à la réalisation. C'est seulement le 16 juillet que le gouvernement français passait formellement auprès de trois laboratoires la plus fabuleuse commande de vaccins de l'histoire : 94 millions de doses, livrables d'octobre 2009 à janvier 2010, pour un montant de 879 millions d'euros. Avec une option supplémentaire sur 34 millions de doses livrables courant 2010. <script type="text/javascript">// <![CDATA[ OAS_AD('Middle1'); // ]]></script>

    Mystérieux adjuvants
    Le tout au profit du suisse Novartis, du français Sanofi-Pasteur et surtout du britan- nico-américain GlaxoSmithKline. Sans battre le record absolu de la France, d'autres gouvernements se sont au même moment signalés par des commandes massives. Citons par exemple l'Algérie (65 millions de doses), le Royaume-Uni (60 millions), l'Italie (48 millions), l'Allemagne (25 millions). Ou les Etats- Unis (commande d'un montant de 1,5 milliard d'euros, sans que l'on puisse savoir à combien de doses cela correspond). La Suisse a même discrètement battu le record hexagonal, avec 13 millions de doses commandées, pour une population de seulement 7,5 millions d'âmes. Pareille mobilisation est impressionnante, mais elle risque fort d'être vaine.
    Car, tandis que la propagation du virus galope - ignorant superbement notre «longueur d'avance» -, la fabrication du vaccin, elle, marque le pas. Certes, on multiplie le virus pour en extraire certaines protéines de surface, aux vertus immunisantes, que l'on stocke dans des conteneurs. Mais on ignore encore quel en sera le dosage final dans le produit commercialisé. D'ailleurs, dans les contrats, les délais de livraison sont assortis de clauses étrangement élastiques. Pour Sanofi-Pasteur, par exemple, «la formulation finale et la mise à disposition seront déterminées dans les prochains mois, lorsque le processus de production à large échelle sera en cours». C'est donc dire qu'il ne l'est pas. Et qu'on semble avoir oublié la promesse du 27 mai, avec sa «production industrielle» alors envisagée dans un délai d'environ deux semaines». Les laboratoires ont une excuse, qu'ils auraient pu avouer plus tôt : jusqu'à la fin juin, leurs chaînes de production étaient accaparées par le vaccin habituel correspondant à la prochaine grippe saisonnière. Ils ne pouvaient donc pas sérieusement se lancer dans la production du nouveau vaccin. Désormais, ils en ont la capacité, mais c'est le virus qui fait des siennes. Dans les organismes humains, il contamine et prolifère à une vitesse inédite. Mais au laboratoire, sur les milieux où on voudrait le multiplier - oeufs de poule «embryonnés» ou cultures cellulaires -, il prolifère beaucoup moins vite que prévu. <script type="text/javascript">// <![CDATA[ OAS_AD('Middle3'); // ]]></script>
    Il va donc falloir plus de temps pour produire assez du principe actif immunisant.
    A moins que ce principe actif trop rare - car long à obtenir - ne s'avère à l'inverse très fortement vaccinant, ce qui permettrait de se rattraper en abaissant les doses. Mais il serait imprudent de compter sur un pareil miracle et, de toute façon, on ne le saura qu'après les essais cliniques, lesquels vont prendre encore plusieurs semaines. On peut aussi espérer la mise au point d'une nouvelle souche, qui proliférerait plus vite sur les milieux de culture. Ou alors s'en remettre aux mystérieux adjuvants, ces boosters de l'immunité, dont les firmes conservent chacune jalousement le secret - et le brevet. Et qui permettent de vacciner autant, avec moins de principe actif. Chez Novartis, par exemple, Eric Althoff ne se gêne pas pour vanter son adjuvant «MF59», le seul qui ait jusqu'ici «fait ses preuves dans un vaccin antigrippal», et qui de plus «élargirait le spectre d'action du vaccin» pour contrer aussi certaines formes mutées du virus initial.


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  •  H1N1 et vaccin à la loupe

     

     

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     Virus A H1N1, étudié scientifiquement : génétiquement conçu, comme le dit le scientifique russe Leonid Ivachov          

      Bonjour,    1) Voici les toutes dernières infos ESSENTIELLES, de ce week-end de travail du "15 août" :   http://artemisia-college.org/Grippe_A_H1N1___le_point_et_que_faire__-00-03-01-0235-01.html (C'est le même lien que sur la photo ci-dessus).   Extrait de l'article : 16 août 2009
    Lien entre le vaccin "grippe A H1N1" et maladies neurologiques :
    Des fuites font état des inquiétudes de neurologues concernant le décès de 25 personnes aux Etats-Unis.
    Le 15 août 2009 les neurologues faisant partie des cadres supérieurs, auraient reçu une lettre confidentielle de la part du gouvernement pour les avertir que le vaccin contre la grippe porcine serait (est ?) à mettre en relation avec une maladie neurologique mortelle.
    La lettre de l’Agence pour la Protection de la Santé outre Atlantique qui a eu vent de cette information ce dimanche souhaite savoir pourquoi cette information n’a pas été rendue publique avant que ne débute la vaccination de millions de personnes, y compris la vaccination des enfants.
    Cette information avertit les neurologues qu’ils se doivent d’être attentifs à une augmentation des syndromes de Guillain-Barre (GBS) qui pourraient être provoqués par le vaccin. Cette lettre envoyée à 600 neurologues le 29 juillet, est en fait le premier signe que des inquiétudes se manifestent au plus haut niveau vu que le vaccin lui-même pourrait provoquer de graves complications.
      La République Tchèque qui refuse le vaccin Baxter de la grippe A H1N1, à cause des risques encourus, pourra se voir forcée de l’utiliser par l'OMS… (à lire dans l'article)     Vous prenez soin de vos enfants, vous veillez à leur donner de la nourriture bio, à proscrire tout poison…
    C’est bien naturel, quelle mère irait délibérément donner des poisons, des produits cancérigènes avérés, ou d’autres, hautement toxiques à ses enfants ?
    Pourtant, en leur injectant (ce qui est bien pire), ces mêmes poisons, cancérigènes et toxiques, là, votre comportement ne devient-t-il pas illogique et irrationnel ? Curieux, non ?
        PATRIMOINE GENETIQUE DU VIRUS
    Ce virus continue d'être une énigme pour les virologues. Dans le numéro de Nature du 30 Avril 2009, il y a une citation d'un virologue disant : " d'où diable a-t-il bien pu récupérer tous ces gènes que nous ne connaissons pas "?
    Une analyse approfondie du virus a montré qu'il contenait le virus originel H1NI de 1918, le virus de la grippe aviaire, et deux nouveaux gènes du virus H3N2 d'Eurasie.
    Les discussions continuent sur le fait que le virus de la grippe porcine pourrait être un virus génétiquement conçu.
    Vaccin : les principaux concurrents sont Baxter Pharmaceuticals et Novartis Pharmaceuticals :
    Ces deux multinationales ont passé des accords avec l'OMS pour produire un vaccin contre la "pandémie".
    Le vaccin de Baxter, appelé Celvapan, a rapidement obtenu un certificat d'autorisation de mise en vente.
    Il est basé sur une nouvelle technologie virale cellulaire, qui utilise des cellules cultivées provenant du singe vert africain. Les tissus de ce même animal transmettent un certain nombre de virus contaminant les vaccins, dont le virus du VIH.
    http://artemisia-college.org/Quelle_est_l’origine_exacte_du_sida__-00-050-05-096-01.html

    La société Baxter a été associée à deux scandales meurtriers. Le premier s'est passé en 2006 quand des composants hémophiles ont été contaminés par le virus du VIH et ont été injectés à des dizaines de milliers de personnes, dont des milliers d'enfants. Baxter a continué à mettre sur le marché des vaccins contaminés au VIH même après que la contamination ait été connue.
    Le deuxième évènement s'est produit récemment quand on a découvert que Baxter avait mis sur le marché un vaccin contre la grippe saisonnière qui contenait le virus de la grippe aviaire, qui aurait pu produire une véritable pandémie dans 18 pays. Heureusement, des techniciens alertes de laboratoires de République Tchèque ont découvert la combinaison mortelle et ont éventé l'affaire avant que le désastre ne se répande mondialement.
    Malgré ces deux évènements mortels, l'OMS a maintenu son accord avec Baxter Pharmaceuticals, pour produire le vaccin contre la "pandémie" mondiale.

    Novartis, le deuxième concurrent, a également un accord avec l'OMS pour un vaccin contre la pandémie.
    Ce qui est terrifiant, c'est que ces vaccins contiennent un composant, dénommé adjuvant immunitaire qui est à l'origine de désordres auto immunes dévastateurs, dont l'arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et le lupus, comme l'ont montré un certain nombre d'études.
    Alors, quel est ce composant ?
    Dénommé squalène, c'est un composant huileux. La société Chiron, qui fabrique le vaccin contre l'anthrax mortel, fabrique un adjuvant le MF-59 qui contient deux principaux composants inquiétants - le squalène et le gp120. Un certain nombre d'études ont montré que le squalène peut déclencher, si injecté, toutes les maladies auto immunes citées ci dessus.
    Le MF-59 a été utilisé dans plusieurs vaccins. Ces vaccins, dont celui contre le tétanos et la diphtérie, sont les mêmes vaccins fréquemment associés à des réactions négatives.

    Il est fondamental de comprendre que ces vaccins sont fourni à titre expérimental, n’ont pas subi de test, sont toxiques et extrêmement dangereux pour le système immunitaire humain.
    Ils contiennent des adjuvants faits à base de squalène qui provoquent toute une quantité de maladies auto-immunes mortelles ou entraînant des conséquences fâcheuses.
    Le squalène dans les vaccins a été fortement lié au Syndrome de la Guerre du Golfe. En Août 1991, Antony Principi, Secrétaire pour les affaires des vétérans, a admis que des soldats vaccinés avec le vaccin contre l'anthrax de 1990 à 1991 avait eu un risque accru de 200% de développer une SLA, (Sclérose Latérale Amyotrophique), maladie mortelle, également dénommée maladie de Lou Gehrig. Les soldats ont également souffert d'un certain nombre de maladies handicapantes et réduisant leur espérance de vie, telles la polyarthrite noueuse, la sclérose multiple ou sclérose en plaques (SEP), le lupus, la myélite transversale (un désordre neurologique causé par une inflammation de la moelle épinière), l'endocardite (une inflammation de la paroi interne du cœur), la névrite optique avec cécité et la glomérulonéphrite (une pathologie du rein).
    Parce que le squalène, principal composant dans le MF-59, peut induire une hyper réaction du système immunitaire et provoquer une réaction auto-immune, un véritable danger existe d'une activation prolongée des cellules immunitaires du cerveau, les cellules de la microglie (cellules micro gliales). Ce genre d'activation prolongée a été fortement associée à des maladies telles la Sclérose en Plaques, la maladie d'Alzheimer, la Sclérose Latérale Amyotrophique, et peut être aussi l'encéphalite liée à une vaccination. Il a été démontré que l'activation du système immunitaire systémique, comme cela se passe lors d'une vaccination, active rapidement en même temps la microglie du cerveau, et cette inflammation du cerveau peut persister pendant de longues périodes.
    De même, comment le gp120 arriverait-il jusqu'au cerveau ? Des études d'autres adjuvants immunitaires utilisant des traceurs techniques précis ont montré qu'ils entrent habituellement dans le cerveau après vaccination. Ce que la plupart des gens ne savent pas, même les docteurs qui recommandent les vaccins, c'est que la plupart de ces études de ces firmes pharmaceutiques n'observent les patients que seulement pendant une ou deux semaines après la vaccination. Ce type de réaction peut prendre des mois ou même des années avant de se manifester.
    Vous devez garder à l'esprit qu'une fois que le vaccin est injecté, vous ne pouvez pas faire grand chose pour vous protéger - au moins avec la médecine conventionnelle.
    Cela peut vouloir dire une vie affectée par une maladie invalidante et une mort prématurée.
    Dr Russell Blaylock
    Selon le journaliste d'investigation Matsumoto :
    "Matsumoto dit que le squalène peut être considéré comme le déclencheur d’une authentique arme biologique. Les chercheurs soviétiques l’ont baptisé « bombe à retardement biologique ! »… Matsumoto et le Dr Pam Asa doivent conclure que « ces types d’adjuvants (huileux) constituent l’arme chimique la plus insidieuse qui ait jamais été conçue ». Ceci comprend également le squalène. Depuis les années 80, les soviétiques savaient que ces produits pouvaient être employés comme armes chimiques.
    Voir son article sur le site belge + médecin
    expovaccins.over-blog.com/article-33523595.html
        2) Nouvelle plainte déposée auprès du Tribunal de Grande Instance de Bordeaux (En plus de Nice et de Chambéry). http://artemisia-college.org/Soutenir_l_action_juridique__pandemie_-29-21009-28-2cad2.html http://www.sos-justice.com/Dev2Go.web?Anchor=lesdossiers&rnd=32188   Le début d'un frémissement (?) : http://www.arretsurimages.net/TMP-1385440110-2236-6165     Cordialement, et PRENEZ BIEN SOIN DE VOUS ! Artémisia Collège  
      Rappel : http://artemisia-college.org/REVEILLEZ_VOUS__-6-79-1.html http://artemisia-college.org/Grippe_porcine___aviaire___humaine___mexicaine___A-00-03-01-0227-01.html  

     

    Rappel des principaux constituants habituels des vaccins dit « antigrippaux », à injecter (ou oraux) :
    - Formaldéhyde (formol), nécrosant et cancérigène notoire
    - Thiomersal, mercurothiolate sodique, à base de mercure, poison à l’origine de (tous les ?) cas d’autisme
    - Divers antibiotiques
    - Divers autres produits chimiques
    - Différents virus placés là volontairement
    - Différents virus ou morceaux de virus indésirables, liés au procédé de préparation
    - Plus, à peu près tout ce « qu’ils » veulent y placer… et d’inavouable… surtout pour une vaccination de masse…
      ...notemment du squalène...

     

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  • GRIPPE A en INDE : Dénuement et désorganisation devant la flambée du virus

    Point sur les conséquences de la flambée du virus dans un pays surpeuplé, particulièrement menacé selon l’OMS : Les autorités sanitaires de Bombay déclarent près de 2.000 cas de grippe A/H1N1 et 20 décès au 14 août, recensés en l’espace de 10 jours. Afin de limiter la diffusion du virus, toutes les écoles, les cinémas et les théâtres ont été fermés. L’Inde manque de masques, les consignes de sécurité viennent tout juste d’être données aux laboratoires, la capacité de production du vaccin sera trop limitée par rapport à la population.

     

    Une flambée rapide de la diffusion : Le premier cas de grippe A/H1N1 a été rapporté en Inde le 11 mai, d’yderabad. Mais l'Inde est véritablement mobilisée depuis le premier décès lié à la grippe A intervenu le 4 août. L’OMS dans son dernier rapport met en garde contre une diffusion très rapide du virus dans les zones à système de santé « précaire » et très peuplées. C’est le cas de Bombay qui compte plus de 18 millions d'habitants pour 1 milliard 150 000 habitants en Inde. Conformément au plan de lutte contre la pandémie, les autorités sanitaires indiennes interdisent aujourd’hui les grands rassemblements et, depuis 48 heures ont décidé la fermeture de l’ensemble des écoles de Bombay pendant une semaine. Les cinémas et théâtres sont également fermés.

    La majorité des décès sont intervenus à Pune (ouest), à 120 km de Mumbai et dans l'Etat du Maharashtra (voir carte ci-contre). 5 personnes, dont deux femmes et un septuagénaire malade du SIDA, sont décédés portant à 15 le nombre de décès dans la seule ville de Pune. Dernière victime en date, un petit garçon de 8 mois décédé le 13 août dans un hôpital privé.

     

    D'APRES CET ARTICLE DE PRESSE, L' EPIDEMIE DE GRIPPE PORCINE A EN INDE A DEBUTE LE 11 MAI. CHERCHEZ L'ERREUR !!!!!


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  • La République Tchèque Refuse Le Vaccin Baxter Contre La Grippe Porcine A Cause Des Risques Encourus

    Des responsables tchèques des services de santé gouvernementaux ont refusé d'acheter le vaccin Baxter le jugeant à risques. En France, le vaccin Baxter fait partie des 4 vaccins choisis contre la prétendue pandémie de grippe porcine. Pourtant, ce vaccin n'a pas encore reçu l'autorisation de mise sur le marché (AMM) de l'EMEA (European Medecine Agency).

    Article complet ici :

    http://www.planetenonviolence.org/La-Republique-Tcheque-Refuse-Le-Vaccin-Baxter-Contre-La-Grippe-Porcine-A-Cause-Des-Risques-Encourus_a1986.html 

     


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  • Grippe porcine: la protection civile mobilisée pour la vaccination de masse

    La protection civile oeuvrera cet automne dans les centres de vaccination contre la grippe porcine, prévus en cas de vaccination de masse. Les personnes engagées installeront les centres, en assureront la logistique et l'approvisionnement ou accueilleront des patients.


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  • Vaccin : Antoine Flahaut témoigne

          Directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique

                                            http://blog.ehesp.fr/ 



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  • Un processus accéléré de validation pour le vaccin contre la grippe A
    LEMONDE.FR | 04.08.09 | 09h44  •  Mis à jour le 04.08.09 | 10h21


    'État français a commandé 94 millions de doses de vaccins contre la grippe A (H1N1), qui pourrait redoubler de vigueur à la rentrée. Mais ce vaccin n'existe pas encore : les laboratoires pharmaceutiques se préparent à tourner à plein régime pour produire ces doses. Mais ils doivent d'abord recevoir l'autorisation de mise sur le marché (AMM) des produits qu'ils élaborent.

    <script language="JavaScript">// <![CDATA[// <![CDATA[ OAS_AD('Middle1'); // ]]></script>

    Vacciner des millions de personne n'est pas un acte anodin. Le produit doit satisfaire aux exigences des autorités sanitaires, et à l'instar de tous les mécicaments, les vaccins doivent obtenir une AMM. Bien que simplifiée dans le cas de vaccins contre la grippe, et accélérée lorsque la pandémie menace, la procédure nécessite des délais relativement longs. "Nous devons nous assurer de l'inocuité, de la sécurité et de l'efficacité du produit avant de l'autoriser en engageant notre responsabilité d'agence sanitaire", explique Fabienne Bartoli, adjointe au directeur de l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), institution qui participe à "l''évaluation collégiale" des vaccins "sous l'égide de l'European Medicines Agency" (EMEA).

    En réalité, ce sont deux types de vaccins qui sont en gestation dans les laboratoires des grandes firmes pharmaceutiques. L'un, créé de toutes pièces, mettra des mois avant de franchir toutes les étapes nécessaires à sa validation. Le second, dit vaccin "mock-up" ou vaccin-maquette, a été conçu lorsque le virus de grippe aviaire H5N1 a fait ses premiers pas sur la planète. C'est lui qui arrivera en premier sur le marché, une fois réadapté pour lutter contre la souche A (H1N1). "Un vaccin mock-up est un vaccin préparé en avance. Une fois que la souche du virus a été connue [au mois de juin], elle a remplacé [la souche H5N1] qui a permis de préparer le vaccin", résume l'EMEA dans une note explicative. Quatre mock-up fabriqués par trois firmes –GSK, Novartis et Baxter – ont été approuvés a priori par l'EMEA, alors que celui produit par Sanofi a été retoqué parce qu'il ne satisfaisait pas aux exigences.


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