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    Selon une ONG palestinienne, le bilan des combats côtépalestinien s'établit à 1 417 tués, dont 926 civils. L'arméeisraélienne parle de 1 166 morts, dont 295 civils. Côtéisraélien, dix soldats et trois civils ont péri.
    AFP/MOHAMMED ABED
    Selon une ONG palestinienne, le bilan des combats côté palestinien s'établit à 1 417 tués, dont 926 civils. L'armée israélienne parle de 1 166 morts, dont 295 civils. Côté israélien, dix soldats et trois civils ont péri.

    Accusé par Amnesty International, Human Rights Watch et l'ONU d'avoir causé des pertes civiles et des destructions injustifiables en décembre et janvier dans la bande de Gaza, l'Etat d'Israël a toujours rejeté ces attaques. Plusieurs soldats de Tsahal ayant participé à cette opération affirment aujourd'hui que leurs chefs militaires les ont incités à tirer d'abord et à se préoccuper ensuite de distinguer les combattants des civils.

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    En conséquence, témoignent-ils, leurs forces se sont ruées dans le territoire enclavé sans retenir leurs tirs. Selon ces trente soldats, dont les témoignages anonymes ont été recueillis par l'ONG Breaking the Silence — financée par des associations israéliennes de défense des droits de l'homme ainsi que les gouvernements britannique, néerlandais et espagnol et l'Union européenne — et sont relayés par le quotidien Haaretz, la priorité de l'armée était de minimiser ses pertes afin de s'assurer du soutien populaire israélien à l'opération. "Mieux vaut atteindre un innocent qu'hésiter à viser un ennemi" : c'est en ces termes qu'un soldat résume la façon dont il a compris les instructions répétées durant les briefings préliminaires et durant l'intervention, qui a duré vingt-deux jours, du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009.

    "Dans le doute, tuez. La puissance de feu était insensée. On arrivait et les explosions étaient hallucinantes. Dès l'instant où on arrivait à nos positions, on commençait à tirer sur tout ce qui était suspect", raconte un autre. L'objectif annoncé de l'opération "Plomb durci" était de mettre fin aux tirs de roquettes des activistes islamistes du Hamas vers le sud d'Israël.

    Selon une ONG palestinienne, le bilan des combats côté palestinien s'établit à 1 417 tués, dont 926 civils. L'armée israélienne parle de 1 166 morts, dont 295 civils. Côté israélien, dix soldats et trois civils ont péri. Des rues entières de Gaza ont été rasées pour réduire le risque des tireurs embusqués et des pièges explosifs. Selon les Nations unies, les quelque 600 000 tonnes de gravats commencent à peine à être déblayées, six mois après la fin de l'opération.


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  • l'esclavage et la Shoah

    NOUVELOBS.COM | 13.07.2009 | 09:51

    Le président américain en visite au Ghana juge que l'esclavage doit être enseigné de façon à mettre en perspective des événements actuels tels que les atrocités au Darfour et compare l'héritage de l'esclavage à l'histoire du génocide nazi.

    Barack Obama visite la forteresse de Cape Coast, samedi au Ghana (Sipa)

    Barack Obama visite la forteresse de Cape Coast, samedi au Ghana (Sipa)

    Estimant que l'esclavage représente un terrible épisode de l'histoire des Etats-Unis, le président américain Barack Obama a jugé dimanche 12 juillet qu'il devait être enseigné à l'école de manière à mettre en perspective des événements actuels, tels que les atrocités commises au Darfour.
    Dans un entretien à CNN enregistré samedi lors de sa visite au Ghana, et dont des extraits ont été diffusés dimanche, le chef de la Maison Blanche compare l'héritage de l'esclavage à l'histoire de la Shoah. Deux épisodes horribles de l'Histoire qui ne peuvent être ignorés et dont les leçons doivent être tirées, selon lui.

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  • Quatre sionistes de la mouvance de la Ligue de défense juive (LDJ), groupuscule raciste connu pour ses actions violentes, ont été condamnés vendredi soir à Paris à des peines de quatre mois d'emprisonnement avec sursis assorties de mise à l'épreuve pour le saccage le 3 juillet de la librairie Résistance, qui notamment distribué le livre (qui fait peur a certaines élites) de l'historien Paul-Eric Blanrue Sarkozy Israël et les Juifs. Cette opération commando constitue une attaque délibéré contre la liberté d'expression. L'un des agresseur, muni d'un pistolet à balles en caoutchouc au moment des faits, été également jugé pour "port d'arme". Le parquet avait requis des peines allant jusqu'à un an prison ferme à leur encontre. Il n'a pas encore pris de décision concernant un éventuel appel du jugement. Dans cette affaire, un mineur, soupçonné d'avoir participé au saccage de la librairie, doit être présenté à un juge pour enfants dans les prochains jours. Le 3 juillet, cinq hommes cagoulés et en jogging sombre étaient entrés dans la librairie armés de bâtons et de bouteilles d'huile. Ils avaient détruit la caisse et les ordinateurs, jeté les livres par terre, vidé leurs bouteilles d'huile sur les livre et maltraité le libraire et les clients. Ces cinq jeunes proches de la LDJ avaient été interpellés mercredi à Paris et en région parisienne. La librairie visée, située près de la station de métro Guy-Môquet, a déjà fait l'objet de plusieurs attaques similaires, selon ses gérants. Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) avait une nouvelle fois réclamé au gouvernement de dissoudre la LDJ, qualifiée de «groupe d'extrême droite, laissé libre d'agir en France alors qu'il est interdit en Israël et aux États-Unis». Des avocats français viennent de lancer une pétition argumenté juridiquement pour exiger du gouvernement la dissolution de la milice LDJ. Quelle que soit la ville où vous vous trouvez, merci de la signer et de la faire signer par un maximum de personnes. http://www.dissolution-ldj.com/ La librairie Résistances saccagée par la LDJ


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    "Interview de John Bastardi Daumont, avocat de Paul Eric Blanrue, à propos du livre "Sarkozy, Israël et le juifs".

     


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  • Aujourd'hui, en France, parler d'Israël avec sérénité et franchise est devenu impossible. La question est taboue. Quiconque se permet de critiquer l'État juif risque d'être qualifié d'antisémite. Dans la « patrie des Droits de l'Homme et de la liberté d'expression », un délit d'opinion, en politique et en histoire, est établi.

    En lieu et place de la discussion libre, une dictature de la pensée unique a été instaurée.


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