• Bactérie E-coli 0157-H7, ce que l’on ne vous dit pas !

    L’étrange impression que les médias contournent la vérité...


    E-Coli Le petit secret honteux por LeNouvelOrdre

    par capone13000 (son site) lundi 20 juin 2011


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  • Forchlorfenuron

    Dans la province du Jiangsu en Chine, vingt agriculteurs ont perdu au total 45 hectares de production. En cause ? L'explosion de leurs pastèques. Cette information pourrait prêter à sourire. Pourtant, c'est à cause du forchlorfenuron, produit chimique utilisé pour favoriser la croissance et la saveur des fruits, que les paysans ont perdu la quasi-totalité de leur récolte. Cette affaire intervient alors que la Chine est déjà en cause dans plusieurs scandales alimentaires.

    De drôles de fruits et légumes poussent récemment. Après l'alerte au concombre tueur (finalement innocenté), c'est au tour du melon d'eau de nous jouer des tours. Comment un champ de pastèques a-t-il pu se transformer en champ de mines ? Enquête sur un phénomène pas commun.

    Pour la CCTV, la chaîne nationale chinoise, les récentes explosions sont la faute du forchlorfenuron. Ce produit chimique est utilisé légalement en Chine mais aussi dans d'autres pays comme les États-Unis, notamment sur les kiwis ou le raisin. Il agit sur la taille des fruits en augmentant la division cellulaire. Interrogé par Associated Press, le professeur Wang Liangju (College of Horticulture at Nanjing Agricultural University) dément le danger de l'utilisation du forchlorfenuron, à condition qu'il soit utilisé correctement.

     

    note Webrunner : sachant qu'une des principales caractèristiques d'une cellule cancéreuse est de se multiplier à l'infini (elles sont immortelles) on ne peut qu'être septique sur l'innocuité d'un tel produit.


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  • Épidémie de bactéries : l'anticorps eculizumab pour traiter les victimes ?

    Par Claire Peltier, Futura-Sciences
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    Si l'origine de la gigantesque épidémie d’infections à Escherichia coli entérohémorragique reste inconnue, au point que le concombre espagnol est inocenté, la découverte d'un médicament qui semble pouvoir sauver les patients se trouvant dans un état critique devrait calmer les inquiétudes. L’eculizumab, un anticorps monoclonal, aurait en effet déjà soigné au moins trois jeunes enfants, pourtant sévèrement atteints du fameux syndrome hémolytique et urémique.

    Alors que la plus grande épidémie à Escherichia coli entérohémorragique jamais observée sévit actuellement en Allemagne et commence à s’étendre dans quelques pays européens, des médecins semblent déjà avoir découvert un médicament efficace permettant de traiter les patients les plus sévèrement atteints. Une bonne nouvelle dans un contexte inquiétant, puisque l’on recense déjà plus de trois cents malades et au moins trois morts.

    L’infection par les bactéries Escherichia coli entérohémorragique (des souches virulentes qui produisent des shiga-toxines) se déclare par une diarrhée souvent hémorragique, des douleurs abdominales et parfois des vomissements qui évoluent, après une semaine environ, vers un syndrome hémolytique et urémique. Caractérisé par une destruction des globules rouges (anémie hémolytique) et des plaquettes sanguines (thrombopénie), il peut même mener, dans les cas les plus graves, à des insuffisances rénales, des complications neurologiques, voire la mort.

    Trois jeunes enfants ont été sauvés

    Si les infections à Escherichia coli entérohémorragique ne touchent généralement que les personnes les plus sensibles (enfants, personnes âgées ou immunodéprimées), cette épidémie atypique a vu des jeunes femmes en bonne santé également déclarer le syndrome outre-Rhin. Mais en dépit des inquiétudes que ces contaminations suscitent, notamment parce que l’origine n’est pas encore clairement définie (l’hypothèse des concombres n’étant pas confirmée), de l’espoir semble renaître.

    Le syndrome hémolytique et urémique est causé par les shiga-toxines produites par des bactéries Escherichia coli entérohémorragiques.
    Le syndrome hémolytique et urémique est causé par les shiga-toxines produites par des bactéries intestinales (Escherichia coli entérohémorragiques). © DR

    Des scientifiques allemands, canadiens et français ont en effet rapporté dans le dernier numéro de la revue The New England Journal of Medicine, l’efficacité de l’anticorps monoclonal eculizumab dans le traitement de formes très sévères de syndrome hémolytique et urémique, déclenchées par des bactéries productrices de shiga-toxines. Trois jeunes enfants âgés de 3 ans, dans un état toujours plus critique malgré la réalisation d’hémodialyses successives pour traiter leur plasma, ont vu leur état s’améliorer dans les 24 heures après la première administration de l’anticorps.

    Déjà sur le marché depuis 2007, l’eculizumab est dirigé contre la protéine C5 du complément et inhibe ainsi l’action de ce facteur clé du système immunitaire, qui a naturellement pour but de provoquer la destruction des cellules pathogènes. L'anticorps était au départ destiné à traiter une anémie rare, l’hémoglobinurie paroxystique nocturne, une maladie génétique caractérisée par une destruction au cours de la nuit des globules rouges rendus anormalement sensibles à l’action du complément.

    Eculizumab : le traitement miracle ?

    Plus tard, des études avaient montré l’efficacité de l’eculizumab dans le traitement de certaines formes de syndrome hémolytique et urémique, non liées à des infections bactériennes, où le système du complément était clairement impliqué. Finalement, d’autres études avaient également mis en évidence une hyperactivation des protéines du complément dans certaines formes de syndrome hémolytique et urémique, cette fois-ci liées à des Escherichia coli entérohémorragiques.

    Selon les auteurs de l’article, la réponse très rapide des trois jeunes patients suite au traitement (qui ont d’ailleurs tous retrouvé une excellente forme) rend improbable une guérison spontanée. De plus, elle renforce l’hypothèse selon laquelle les shiga-toxines pourraient activer directement les protéines du complément. Pourtant, d’autres médecins, interviewés par le journal Science, semblent ne pas avoir observé les mêmes résultats positifs et rappellent que le traitement est très cher (de l'ordre de 15.000 euros).

    Ces données permettent néanmoins d’envisager l’anticorps eculizumab comme traitement adapté aux malades souffrant de formes sévères de syndrome hémolytique et urémique liées à des infections bactériennes, bien qu'il nécessite d’abord une estimation de la balance bénéfices/risques et une confirmation de son efficacité à plus grande échelle.


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  • Concombres infectés : Bruxelles lance une alerte à la bactérie tueuse

    La Commission européenne vient de lancer une alerte pour informer que des concombres importés d'Espagne sont l'un des vecteurs de transmission de la bactérie Escherichia.coli enterohémorragique (Eceh). En Allemagne, jamais autant d'adultes n'avaient été si durement touchés par ce germe qui a pris une forme rare. Trois personnes en sont mortes. Plus de 600 en souffrent depuis ces derniers jours.

     

    La maladie, très contagieuse, se transmet par des légumes crus mais aussi par contact humain, selon l'Institut Robert-Koch, établissement fédéral allemand chargé du contrôle sanitaire et de la lutte contre les maladies.

    Les concombres porteurs de cette maladie, qui se traduit par des diarrhées et du sang dans les selles, des maux de tête et de vives douleurs au ventre, viennent de Malaga et d'Almeria, en Andalousie. Les autorités espagnoles cherchent à localiser l'exploitation contaminée pour en découvrir la cause. Cette information sera déterminante, car elle permettra de localiser les pays qui ont acheté ces légumes. Un lot parti des Pays-Bas et commercialisé en Allemagne est également l'objet d'un examen.

    Des légumes bio infectés. Face à la propagation de la bactérie, quatre tests ont été effectués par la Ville-Etat de Hambourg sur des concombres, explique le site du quotidien «Hamburger Abendblatt». Si l'origine d'un de ces cucurbitacées porteurs de la bactérie n'avait pas été identifiée, les trois autres proviennent clairement de deux producteurs espagnols. Le porte-parole du ministère de la Santé de Hambourg a cité deux marques : «Bio Franet Pepino» un producteur de concombres bio, installé dans la province de Malaga, et en «Hortofrutícola», à Almeria (Andalousie). Des analyses supplémentaires doivent toutefois être diligentées. Il est possible que d'autres aliments (des tomates, par exemple) soient également contaminés. Les autorités appellent à ne plus manger ce légume.


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  • Phtalates, parabènes... Dans quels produits les trouve-t-on ?

    Contre l'avis du gouvernement, l'Assemblée nationale a voté mardi soir l'interdiction d'utiliser des phtalates, des parabènes ou des alkylphénols. Selon plusieurs premières études ces produits chimiques seraient dangereux pour la santé. Sous quelles formes et dans quels articles sont-ils commercialisés en France ?

    Les phtalates servent notamment à assouplir le plastique et sont très communément utilisés pour les emballages
    Les phtalates servent notamment à assouplir le plastique et sont très communément utilisés pour les emballages SIPA

    De nombreuses études scientifiques ont démontré que les produits chimiques de types phtalates,  parabènes ou alkylphénols étaient dangereux pour la santé. Ces perturbateurs endocriniens auraient une incidence sur l'accroissement des tumeurs du sein et sur la baisse de la fertilité masculine. Des expertises sont encore en cours pour confirmer la dangerosité de ces substances. Mais déjà, il est donc possible de dire, qu'au même titre que le bisphénol A - déjà interdit dans la fabrication des biberons – , ces produits perturbent le fonctionnement du système hormonal et affectent aussi bien à l'âge adulte que chez les enfants, voire même au stade de l'embryon.

    Cependant, dans le doute, le gouvernement n'était pas favorable à leur interdiction et au texte présenté par le Nouveau Centre durant le mois d'avril. « Une interdiction simple sans discrimination d'utilisation est excessive », jugeait de son côté le ministère de l'Ecologie. Pour le moment, le gouvernement doit encore inscrire ce vote de mardi à l'Assemblée à l'ordre du jour du Sénat afin de poursuivre cette volonté d'interdiction des élus (236 voix pour et 222 contre).

    Ces substances sont utilisées dans un très grand nombre de produits

    Toutefois dans l'attente de ces prochaines expertises scientifiques, ces substances sont utilisées dans un très grand nombre de produits de consommation courante (voir ci-dessous).

    Les phtalates servent à assouplir le plastique et sont très communément utilisés pour :
       -  les emballages, les adhésifs, la peinture, le vernis à ongles, la laque pour les cheveux ou encore le parfum.
    Les phtalates ont déjà été interdits sur certains jouets. Ils auraient des effets néfastes sur l’appareil génital masculin.

    Pour les parabènes, les propriétés oestrogéniques qu'ils contiennent seraient la cause de tumeurs cancéreuses et pourraient nuire à la fertilité masculine, on les retrouve dans :
        - les cosmétiques tels que les déodorants et les crèmes, les produits du tabac ou encore dans certains médicaments et aliments.
       
    Quant aux alkylphénols, ils sont incorporés dans des produits de nettoyage et aussi utilisés comme émulsifiants. Concernant l'alimentation, il est recommandé d'éviter de mettre toutes sortes de plastiques au micro-onde qui favorise la contamination de la nourriture par ces substances ou encore d'éviter les conserves.

    source


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  • Quelques vérités sur le tabac


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  • ce que vous buvez


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  • L’hépatite B transmise... par acupuncture

    Source : Destination Santé
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    En France, quatre personnes auraient été infectées par le virus de l’hépatite B suite à des séances d’acupuncture où les procédures d’hygiène n’avaient pas été respectées. Ce type de transmission avait déjà été rapporté dans d’autres pays.

    • Tout savoir sur les hépatites grâce à notre dossier

    Les rédacteurs du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) rapportent quatre cas groupés d’hépatite B en relation avec des actes d’acupuncture. « Il s’agit du premier épisode de ce type décrit en France », précisent-ils. Explications.

    Au total donc, quatre cas d’hépatite B ont été identifiés d’avril à septembre 2008, auprès de patients ayant fréquenté un cabinet en Languedoc-Roussillon. Il s’agissait de quatre femmes de 16 à 85 ans. « Aucune n’était vaccinée contre le virus de l’hépatite B ni n’avait déclaré de facteur de risque », souligne le BEH.

    Les aiguilles doivent être à usage unique

    Les résultats de l’investigation confirment « une transmission du virus de patient à patient, probablement liée à l’utilisation de matériels souillés ou partagés ». La mise en place rapide de mesures de contrôle (fermeture immédiate du cabinet par le préfet) a permis d’éviter la survenue de nouveaux cas. Des épisodes similaires ont été recensés aux États-Unis, au Royaume-Uni ou en Asie.

    Rappelons que l’acupuncture est un acte médical dont la pratique n’est autorisée en France qu’aux personnes remplissant les conditions pour exercer la médecine et, sous certaines conditions, aux sages-femmes. « Les professionnels doivent être formés à cette technique, respecter l’usage unique des aiguilles, l’application stricte des précautions standard, et opérer dans de bonnes conditions d’hygiène ».


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  • La contamination radioactive en France "probablement sous-évaluée"

    Des traces d'iode 131 dans l'air et de césium 137 dans des salades ont été détectées. L'IRSN assure qu'il n'y a "aucun danger environnemental ou sanitaire"

    L'IRSN a annoncé samedi que les premières traces du panache provenant de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima ont été relevées en France mais que le niveau de radioactivité mesuré était sans danger pour l'environnement et la santé.

     
    D'après la Criirad, "l'air a été échantillonné à partir d'un filtre à aérosols, qui ne permet pas de piéger l'iode présent dans l'air sous forme gazeuse". Cet iode gazeux "pourrait constituer une part importante, probablement majoritaire, de l'iode radioactif présent dans les masses d'air contaminé", a poursuivi le laboratoire. Si "l'incidence de cette question sur l'appréciation des risques est très limitée" en Europe, "au Japon, les conséquences d'une sous-évaluation de l'activité de l'iode pourraient être graves", a affirmé le laboratoire indépendant basé à Lyon.


    D'après l'IRSN, "des traces d'iode 131 (0,012 mBq/m3 en moyenne sur la période de prélèvement) ont été mesurées dans l'air prélevé entre le 21 au 24 mars par la station de l'IRSN installée au sommet du Puy-de-Dôme".
    L'institut a estimé que l'arrivée de la "masse d'air faiblement contaminée" a "probablement" eu lieu au cours de la journée du 24 mars. 


    Nouvelobs.com

    [PDF]

    Les quelques résultats enfin disponibles sont très inquiétants !

    Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Afficher
    17 mars 2011 ... CRIIRAD. 471 avenue Victor Hugo. 26000 Valence. Tel : 04 75 41 82 50. Fax : 04 75 81 26 48. E-mail : contact@criirad.org.
    www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon/11-03-17-CPtokyo.pdf

    [PDF]

    JAPON : chronique d'une contamination annoncée Des niveaux d'iode ...

    Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Afficher
    20 mars 2011 ... Contact : corinne.castanier@criirad.org. Voir tableau de résultats et carte de localisation sur www.criirad.org ...
    www.criirad.org/actualites/dossier2011/.../11_03_20_Japon_Aliments.pdf


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  • Césium 137

    Un radioisotope important de 30 ans de période

    Le césium-137 est un élément radioactif dont la durée de vie est considérée comme moyenne. Sa période est de 30,15 ans. Cet isotope du césium est un émetteur de rayons bêta et gamma. Il est produit avec une relative abondance dans les réactions de fission. L'attention prêtée au césium-137 tient au fait qu'à l'échelle d'une centaine d'années, il constitue la principale source de radioactivité des déchets des réacteurs nucléaires avec le strontium-90 et les isotopes du plutonium.

    Les deux principaux produits de fission à vie moyenne sont en effet le césium-137 et le strontium-90. Ces deux noyaux sont produits à raison de 24 et 10 kg par an dans le combustible usé d'un réacteur REP à eau pressurisée conventionnel.

    Le césium-137 a été répandu sur terre lors des essais dans l'atmosphère des armes atomiques. Cet isotope contribuait dans les années 60 entre 1 et 4 % de la radioactivité naturelle du corps humain. Elle a beaucoup décru depuis, davantage du fait de la dispersion que du temps écoulé.



    Césium et chaîne alimentaire
    Le césium-137 est la principale source de contamination de la chaîne alimentaire due aux essais nucléaires et à l'accident de Tchernobyl. Peu mobile, il s'enfonce lentement dans le sol. La contamination se fait d'abord par les feuilles, puis les racines. Ce sont aujourd'hui les champignons - à cause du mycélium - et le gibier qui sont les plus contaminés. Cette contamination est très variable : de 15 à 5000 Bq/kg pour les champignons et jusqu'à 5000 Bq/kg pour le gibier. Cependant, pour être exposé à une dose efficace annuelle de 1mSv, il faudrait vivre en forêt et se nourrir quotidiennement de produits des bois.
    IRSN/dessin : Martine Beugin

    Le césium-137 est également un des principales sources de contamination radioactive lors des accidents de réacteurs. Lors de l'accident de Tchernobyl, une quantité importante de cet isotope a été disséminée. Toutefois, les analyses récentes montre que le niveau de césium dans l'atmosphère est retombé depuis 1995 au-dessous de ce qu'il était avant l'accident en 1986.

    Dans l'environnement, le césium est beaucoup moins mobile par exemple que l'iode. Fixé par des minéraux, il reste en surface du sol. Proche chimiquement du potassium, il se retrouve notamment dans la litière des forêts après avoir été intercepté par le feuillage. Le mycélium, partie vivace des champignons qui se développe à quelques centimètres sous la surface du sol, piège le césium (comme il piège, par ailleurs, les pesticides). Il peut se concentrer dans la chaîne alimentaire, par exemple dans la chair des poissons ou du gibier.

    Absorbé par l'homme, le césium se répartit dans les muscles. Sa période biologique est de 100 jours, laps de temps au bout duquel il est éliminé de l'organisme. Cette élimination relativement rapide signifie qu'un noyau de césium-137 seulement sur 160 absorbés se désintègre dans le corps humain.



    Evolution du Césium-137 dans le corps humain
    L'activité du césium-137 dans le corps humain a été mesurée aux environs du laboratoire de Mol, dans le nord de la Belgique, depuis près d'un demi-siècle. Bien que ce laboratoire soit éloigné des pas de tirs des essais nucléaires et de Tchernobyl, on observe très bien le pic d'activité dû à ces essais et celui, environ 4 fois moindre, de Tchernobyl. Dans les deux cas,la décroissance du césium-137 dans le corps humain est beaucoup plus rapide que la décroissance radioactive naturelle dont la période est de 30 ans. Bien que le césium s'enfonce lentement dans le sol, la décroissance rapide de l'activité absorbée par le corps humain rend superflu en Belgique une décontamination de la surface du sol, par exemple par un traitement au bleu de Prusse.(Source Jean Louis Genicot)

     

    Salut Mr WR
    ici un graphique sur la concentration de cesium dans le sang des ado depuis 1945 :
    http://rikiai.jimdo.com/nucleaire/

    Posté par Rikiai | Jeudi 24 Mars 2011 à 14:48


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  • pétition contre la directive européenne THMPD ICI


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  • L’UE interdit la médecine par les plantes

    pétition contre la directive européenne THMPD ICI

    Le lobby de l’industrie pharmaceutique a réussi a faire un sort à la concurrence pénible des produits naturels. A compter du 1er avril 2011, la vente de tous les produits à base de plantes médicinales sera interdite sur le territoire de l’Union européenne…s ‘ils ne sont pas au bénéfice d’une autorisation !

    Les multinationales de la pharmacie et de l’agro-alimentaire entendent se rendre maîtres de tous les aspects de notre santé et de notre alimentation. Elles détruisent tout obstacle qui se trouverait sur leur chemin. Celui qui veut désormais offrir à la vente des produits à base d’herbes médicinales en leur attribuant des vertus thérapeutiques doit se soumettre aux mêmes conditions d’examen et de contrôle que pour n’importe quel médicament. Cette innovation va éliminer bien des acteurs de la concurrence. Peu importe que ces herbes et plantes médicinales offertes par la Nature soient fort prisées depuis des millénaires.

    Ainsi, selon les directives de l’Europe, la vente et l’usage de produits à base d’herbes médicinales s’en trouvera fort restreint. Nous sommes ici en présence d’une directive de l’UE pour l’harmonisation des procédures d’autorisation en matière de préparations à base d’herbes médicinales traditionnelles qui sont utilisées en médecine. Ainsi les produits de la Nature destinés à des usages médicaux doivent faire l’objet d’une nouvelle déclaration et sont soumis à autorisation. Dans tous les pays de l’UE, il sera donc interdit de vendre des herbes ou des plantes médicinales qui n’auraient pas obtenu d’autorisation.

    La même directive (THMPD= Traditional Herbal Medicinal Products Directive) stipule que tous les produits à base d’herbes médicinales qui ne sont pas considérés comme des aliments (tels que les épices), doivent être au bénéfice d’une autorisation THMDP dès avril 2011 pour pouvoir rester sur le marché.

    La directive exige que toutes les préparations soient soumises à la même procédure que les médicaments chimiques. Peu importe que lesdits produits soient utilisés depuis des millénaires dans tous les ménages. Les géants de l’industrie pharmaceutique peuvent se payer les procédures d’autorisation mais comment un petit producteur pourrait-ilen faire autant alors que l’examen d’un produit ou d’un mélange de produits naturels se facture jusqu’à 120’000 euros ? A défaut, l’entreprise doit prouver, pour obtenir l’autorisation de mise en vente, la preuve que son produit a été utilisé depuis au moins 30 ans en toute sécurité et avec efficacité, dont 15 ans dans l’Union européenne. C’est un obstacle de taille que tous ne pourront pas franchir . Ceux des produits thérapeutiques en provenance de Chine, de l’Inde, du Japon ou de toute autre origine hors-UE et qui n’ont pas fait leurs preuves sur le territoire de l’Union européenne sont exclus du marché.

    Dans de nombreuses cultures traditionnelles, on utilise des produits non-végétaux tels que des tissus d’origine animale et des produits minéraux. Ceux-là sont interdits par la directive européenne. Cela signifie que les citoyens des pays de l’UE sont privés de médecine traditionnelle en provenance de pays lointains. Ils doivent y renoncer.

    Dès sa mise en vigueur l’année prochaine, la directive THMPD n’autorise que trois catégories de produits à base d’herbes médicinales sur le marché de l’UE : 1 – Les produits qui ont une licence et qui ont été testés médicalement 2 – Les produits qui sont qualifiés de “traditionnels” sous le régime de la directive THMPD et qui ont été éprouvés. 3 – Les produits qui ne revendiquent aucune vertu thérapeutique et qui ne sont pas utilisés à des fins médicales.

    Cela signifie en principe que tous les produits naturels qui ont des propriétés thérapeutiques devront être traités à l’avenir comme des drogues dangereuses et qui devront d’emblée être testés pour s’assurer de leur innocuité. Cela est totalement absurde. Ainsi, par ce stratagème, la mafia de l’industrie pharmaceutique décidera toute seule ce qui convient à notre santé. Les solutions alternatives doivent disparaître. Le slogan implique que tout ce que produit la Nature est dangereux. Seul ce qui provient des laboratoires est sûr. Ils ont atteint leur but grâce à leur lobbystes qui ont convaincu les bureaucrates de l’UE ou qui leur ont plutôt graissé la patte… Cela, bien entendu, en chantant l’antienne de notre sécurité et de notre bien-être. Pour prendre un exemple banal, celui qui offre des pruneaux secs parce qu’ils sont favorables à la digestion mais qui n’aurait pas d’autorisation, se rendra-t-il punissable, c’est bien ça ? Comment cela est-il possible ? Tout simplement parce que les produits naturels ne peuvent plus être classés parmi les aliments mais doivent l’être parmi les médicaments. Ce qui est en cause, c’est une législation sur le commerce et sur les brevets. Maintenant, seuls les produits que l’on peut protéger par une marque et un brevet sont souhaitables car ils permettent l’instauration d’un monopole. Ce qui pousse à l’état naturel dans la nature est illégal.

    C‘est ainsi que l’on protège notre santé et, en même temps, le chiffre d’affaires et les bénéfices des grandes entreprises. Il ne s’agit plus du tout d’une question de santé car elle leur importe nullement. Ce qui est en cause, c’est leur cupidité insatiable. Les politiciens et les autorités sanitaires sont leurs auxiliaires dévoués. Tous les bureaucrates qui pondent de telles directives sont placés sous le contrôle direct des grandes entreprises. Tout ce que décide l’UE sert plus ou moins leurs intérêts et les PME et les consommateurs en subissent les inconvénients. Jusqu’à quand tolérerons-nous que les gouvernements, les parlements et les bureaucrates n’agissent qu’en fonction des seuls intérêts des grandes entreprises et non pas dans le nôtre ? Allons-nous rester encore longtemps passifs en constatant que nos droits sont constamment rétrécis ? Nous voulons décider seuls de ce qui est bon pour nous et quels produits nous voulous prendre, qu’il s’agisse de bombes chimiques ou de doux produits thérapeutiques naturels. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.


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  • Le Fluor et l’Aluminium : Danger

     

    Le Fluor et l’Aluminium danger

    Le Fluor

    Le fluor apparut dans les années 50 comme un progrès dans le combat contre les caries et la plaque dentaire. Il fut introduit dans la composition des pâtes dentifrices et le réseau de distribution d’eau courante sous forme d’antiseptique (acide hexafluorosilicique). Mais seules des doses réduites permettent une action positive du fluor.

    L’accumulation à long terme de cette substance engendre des effets néfastes en matière de santé, tel que la destruction de l’émail des dents, le développement de maladie telle que l’ostéoporose, de troubles cardiaques et psychiques, et même de dégâts génétiques. Les effets toxiques du fluor à haute dose ne sont plus remis en doute quand on sait qu’il entre dans la composition des insecticides et des bactéricides.

    Les effets psychiques, quant à eux, ont été démontrés par les savants Allemands à la solde d’Hitler. Le 3ème Reich donna l’ordre aux usines chimiques I.G. Farben, basées à Francfort, de produire du fluor en quantité. Celui-ci devait être mélangé à l’eau potable destinée aux prisonniers des stalags. Cette distribution avait pour but de maintenir la discipline dans les camps, grâce aux effets sédatifs du fluor. Le Tribunal de Nuremberg mit en évidence la culpabilité 24 responsables I.G. Farben pour divers crimes commis durant les années de guerre, et scinda la société en trois entités distinctes : BASF, BAYER et HOECHST. Les responsables d’I.G. Farben de l’époque furent libérés par le Ministre des Affaires Etrangères des USA et partenaire commercial, Nelson Rockefeller, et leurs homologues, anciens membres du parti Nazi, financèrent à partir de 1959 le jeune Helmut Kohl.

    De nos jours...

    On compte sur le marché plus de soixante tranquillisants, plus ou moins puissants selon la proportion de fluor qu’ils contiennent. La concentration maximale autorisée dans l’eau distribuée dans nos robinets est de 1500 microgramme par litre, mais elle est régulièrement dépassée. Un nouveau matériau d’obturation de la carie dentaire, la Définite (mis au point par la société Degussa en Allemagne), arrive sur le marché. Ce matériau, de par sa composition, rejette des ions de fluor dans la bouche, et est capable de se recharger en fluor par l’alimentation ou la pâte dentifrice.

    Les puissances financières colossales que constituent les industries chimiques et pharmaceutiques, et leur mainmise sur de multiples secteurs de l’activité économique de nombreux pays, assurent désormais leur suprématie sur l’ensemble des individus et des états, par une désinformation permanente du grand public, par le financement de leurs propres laboratoires de recherche et contrôle, et en "arrosant" certaines personnes dans les hautes sphères du pouvoir.

    Premier exemple :

    BAYER (Allemagne), 14éme groupe pharmaceutique mondial en 1997 possède 6 secteurs d’activité : produits agricoles, produits organiques, produits pharmaceutiques, produits industriels, polymères, techniques de l’information.

    Deuxième exemple :

    SANOFI (France), 18éme groupe pharmaceutique mondial en 1997, est sous le contrôle de L’Oréal (19,4%) et du groupe ELF (35,1%)... un groupe qui a des relations "intimes" avec la gent étatique.

    L’aluminium

    On a pu voir, l’année dernière, dans l’actualité, des avertissements quant à des contenances d’aluminium à des doses dépassant de 30 fois la norme dans l’eau de nos robinets. Ces avertissements étaient le fruit d’une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). L’INSERM avait déjà communiqué les premiers résultats de ses recherches en 1994 et en 1996.

    Toutes ces mises en garde sont restées lettre morte. Pourtant l’aluminium est un neurotoxique qui peut être à l’origine de démences dégénératives, de fragilisations osseuses ou d’accidents cardiaques, car il s’accumule dans le cerveau, les os et les muscles. Le nombre de malades d’Alzheimer est proportionnel à la quantité d’aluminium dans l’eau potable.

    La présence d’aluminium dans l’eau du robinet est le résultat de l’utilisation de sulfate d’alumine, dans les stations d’épuration, au moment de l’opération dite de "floculation" qui vise à purifier l’eau de certaines impuretés, des particules argileuses notamment. D’autres produits aussi efficaces, et inoffensifs, pourraient être utilisés, mais leur coût serait supérieur. De plus, la présence d’aluminium ne se cantonne pas seulement dans l’eau de nos robinets, mais se retrouve aussi dans les canettes de bière et de sodas, dans les rouleaux d’emballage, dans les casseroles, dans les tubes de sauces et de pâtes dentifrices, les ustensiles de cuisines.

    L’impact économique et sanitaire d’une confirmation de l’étude citée plus haut serait catastrophique. La pression des lobbys des industriels, tel que Pechiney, l’un des principaux producteurs français d’aluminium, et de la Lyonnaise des Eaux ou encore de Vivendi (ex-Générale des Eaux) explique la minimisation de l’étude par les différents ministères concernés.

    Pechiney est une entreprise dont la majeure partie du capital est détenue par des actionnaires institutionnels français (21,9%) et étrangers (48%), ainsi que Suez-Lyonnaise des Eaux (30% ; 30%), et Vivendi (24,5% ; 45,6%).

    La panique boursière qu’engendrerait une annonce négative confirmée sur les effets alarmants de l’aluminium sur la santé publique signerait probablement la mise à mort de ces grands groupes, de par la fuite des capitaux qu’elle provoquerait.

    Mais Suez-Lyonnaise des Eaux est actionnaire à 34,5% de la chaîne de télévision M6 et à 25% de TPS. Vivendi possède 52,6% de Télé Monte Carlo et 34% de Canal +, qui possède lui-même 70% de Canal Satellite. Voilà démontrée la dangerosité que représente la prise de pouvoir médiatique par les grands groupes industriels.

    Le lien entre le fluor et l’aluminium

    Le fluor est un des principaux dérivés de la fabrication de l’aluminium. Il a fallu rechercher des débouchés lucratifs à ces déchets fluorés. Le lobby industriel et financier a alors financé des études attestant l’innocuité des produits fluorés ainsi que leurs effets bénéfiques à faible dose qui ont été mis en valeur. Il en a été de même de l’aluminium.

    L’Express (n° 2482, février 1999), se veut rassurant quand il affirme sous la plume de Vincent Olivier :" Il faut être clair : on ne risque pas de mourir en buvant de l’eau du robinet ". Mais quel crédit accorder à un magazine sous la propriété de Havas, absorbée elle-même par la Compagnie Générale des Eaux (devenue Vivendi le 15 mai 1998).

    Comment ne pas s’interroger sur la possibilité que la fluorisation généralisée ne soit qu’une forme de contrôle social, de par l’effet sédatif qu’elle engendre.

    Les intérêts en jeu dans cette affaire sont énormes, les effets sanitaires et psychiques ne le sont pas moins.

    Le fait que l’utilisation du fluor et de l’aluminium ne cesse de se développer depuis les années 50, et cela dans l’indifférence générale malgré les nombreux avertissements lancés par des personnes qualifiées en la matière, prouve bien l’efficacité de l’effet annihilant du fluor sur l’esprit critique de tout à chacun.

    Le maintient du statu quo grâce à la désinformation sur des sujets aussi importants alimente l’apathie de la masse somnolente, ce qui ne fait que servir les intérêts de ceux qui détiennent le pouvoir, qu’il soit économique ou politique.

    Sources : Les Echos, n°17789 à 17792, décembre 1998 Facteur X, n°12 Médecines Nouvelles, n°90, 1998 L’EXPRESS, n°2482, janvier 1999 France Soir, 25/09/98, 14/10/98, 22/10/98, 19/11/98


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  • Mangez des oranges et des citrons cancérigènes traités à l’Imazalil

    Ils sont beaux, ils sont jaunes et toxiques… mes citrons. Oh merci Mr Edouard Leclec de proposer avec votre marque discount Eco+ des agrumes pas cher pour les classes populaires, les distraits ou les stressés de la vie. Rassurez-vous chez Auchan : ils font différemment et pire.
    Là en magasin, on vous affiche le nom de chaque traitement avec le numéro en face. Numéro que vous retrouvez sur les panonceaux de chaque corbeille d’agrumes. Sur l’autel de la transparence, l’usage des pesticides est pleinement assumé.
    Car répéter à chaque fois des noms imprononçables en lil ou en ol, pourrait faire fuir la clientèle.
    Et puis, le client est pressé, alors il n’ira pas voir à quoi se rapporte le numéro. Quant aux étiquettes à même le produit, il les consultera après achat voire pas du tout. L’essentiel c’est de vendre, n’est-ce pas ?

    Mais alors Imazalil c’est quoi. Ce qui pourrait faire penser à une destination de vacances voire une ile paradisiaque est en fait un fongicide couramment employé. Un produit tellement inoffensif qu’il faut…une autorisation de marché. Notre wikipédia préféré nous informe sobrement que :
    « Selon l’Environmental Protection Agency U. S. EPA l’Imazalil est classée comme cancérogène probable, car se sont produits dans les études chez l’animal »
    « Chez les souris, l’Imazalil conduit à des troubles du développement et de la reproduction. »

    Un produit que vous ingérez tellement sympa que les bidons le contenant portent les logos (Source images : wikipédia.org) :
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    Upload image
    Et si on mettait ces logos sur les fruits et légumes traités ?

    Oui le deuxième signale une pollution et une nocivité sur l’environnement. Réjouissant non ?
    Cpolitic vous propose de vous vacciner d’acheter ce genre d’agrumes en vous invitant à aller sur pesticideinfo avec un joli résumé :
    Toxicity : Link to information on toxicity to humans, including carcinogenicity, reproductive and developmental toxicity, neurotoxicity, and acute toxicity.
    Water : Water quality standards and physical properties affecting water contamination potential.
    Poisoning Symptoms : Signs and symptoms of poisoning, first aid, and links to treatment information for this chemical.

    En français, dans le texte : une véritable saloperie probablement cancérogène qui peut aussi affecter le système nerveux comme vos capacités de reproduction. Un petit cancer des testicules ou des ovaires, ça vous dit ?

    Et de nous interroger comme le fait cet autre blog, sur les taux résiduels de pesticides et la qualité des contrôles s’y rapportant, comme sur le mariage des produits pesticides et fongicides, le mélange faisant un cocktail encore plus dangereux pour la santé publique.
    C’est d’ailleurs la technique de Monsanto pour avoir l’accord des autorités : la législation, influencée voire créée par son intense lobbying, exige des contrôles sur chacune des substances actives…mais pas sur les combinaisons de ces substances, même si elles se trouvent dans le même produit final.
    D’où l’impunité de leur fameux Round Up comme de leurs semences transgéniques ou des OGM tueurs d’abeilles !

    De la même manière que l’Imazalil, éviter son collègue, le Thiabendazole, E233, un produit toxique et écotoxique dont l’utilisation est étroitement régulée au Canada, interdite en tant qu’additif en Russie mais autorisée en Europe !
    Diantre ! La même substance ne produirait-elle pas la même réaction avec la même dose suivant notre nationalité ou l’endroit de consommation ?
    D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que les additifs alimentaires suspectés d’accroître l’hyperactivité infantile

    Ne souhaitant pas vous empêcher de consommer des agrumes (orange, clémentine, mandarine) mais aussi pommes de terre – et oui Imazalil demeure multi-usage – voici deux solutions :
    - préférez le jus de citron acheté en bouteille avec du disulfite de potassium, un conservateur et antioxydant moins toxique que l’imazalil. On le retrouve sous l’appellation poétique E224. Comme tout produit chimique, ne pas en abuser et limiter les doses, d’autant qu’il peut être source d’allergie, à éviter les asthmatiques. (attention il peut dénaturer le goût du citron avec le temps)
    - meilleure solution, l’ultime même : les produits Bio certifié AB.

    A propos de ces produits Bio….
    L’objectif réel n’est pas de devenir des gourous du bio, sans trace, sans produits toxiques, mais simplement, de limiter au maximum ces horreurs inventées par l’Homme, jouant aux apprentis sorciers. Car c’est la dose qui fait le poison (comme les fréquences d’exposition à celui-ci), des poisons inévitables de part leur longue utilisation (imprégnation des sols et nappes phréatiques) ou les contraintes commerciales (longue durée, apparence, résistance aux bactéries, champignons, goût…)
    Faites la comparaison : souvent prendre un produit Bio revient aussi cher que prendre du milieu ou du haut de gamme non bio. Alors pourquoi se priver ? Êtes-vous à quelques centimes ou euros prêts ? Préférez vous mettre en danger votre vie sur le long terme comme celle de vos proches.
    Sans être alarmant ni alarmiste, force est de constater que le pollution chimique de nos aliments (comme de l’air et nos eaux) possède certainement un lien avec la flambée de cancers que nous connaissons.
    Respectons le simple adage : mieux vaut prévenir que guérir.

    Côté Politique, on ne peut encore que constater les dégâts des campagnes de lobbying intenses comme de la corruptibilité de certains de nos élus, acceptant moult cadeaux ou ne voulant pas aller à l’encontre de précieux emplois. L’Etat devrait toujours rester au-dessus des entreprises et de leurs intérêts.

    Propositions Concrètes :
    Nous n’allions pas nous arrêter là en si bon chemin. Demandons :
    - un étiquetage clairement visible sur chaque emballage avec un logo (E2XX cercle sur fond rouge) et un résumé des dangers du produits (les logos noirs sur fond orange)
    - la mise à disposition de produits discounts non traités dans tous les supermarchés et hypermarchés ou vendre les produits BIO de ces gammes à prix coutant
    - augmentation d’au moins 15% des moyens humains et financiers à l’échelle nationale de la DGCCRF pour renforcer les contrôles.(la récente affaire de tapis-puzzle en plastique mou pour les enfants prouve une fois la nécessité de contrôles)
    - un suivi médical renforcé des manutentionnaires de fruits et légumes directement et quotidiennement exposés à ces produits (contact, respiration…)

    Histoire que la grande distribution comme les producteurs de fruits et légumes ne nous prennent plus pour des poires.

    Plus d’infos : L’intolérance ou l’allergie aux sulfites : Les manifestations
    Le site de l’International Labour Organization concernant l’Imazalil

    Cpolitic.com

    par blogcpolitic (son site) jeudi 16 décembre 2010


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  • Mon beau sapin
     

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  • Les "tapis-puzzle" libèrent des particules nocives pour les enfants

    La Belgique a décidé de retirer ces jeux du marché et de les interdire. Des analyses ont mis en évidence la présence trop élevée de particules nocives dans ces objets en mousse.

     
    Un tapis-puzzle (AFP) Un tapis-puzzle (AFP)

    La Belgique a décidé de retirer du marché et d'interdire les "tapis-puzzle" en mousse, dont la "quasi-totalité" libèrent des particules nocives pour les enfants, a annoncé vendredi 10 décembre le ministre chargé de la protection des consommateurs, Paul Magnette. "Paul Magnette ordonne que tous les tapis-puzzle soient retirés du marché belge et ne puissent plus être vendus aux consommateurs", indique un communiqué de ses services.

    Des analyses ont révélé que "la quasi-totalité des tapis mis en vente émettent un niveau trop élevé de particules nocives, notamment de formamide", un produit chimique industriel cancérigène, ajoute le communiqué. "La Belgique est le premier pays européen à interdire tous les tapis-puzzle, mais nous anticipons en fait une décision européenne qui interdira les formamides dans tous les pays de l'UE à partir de 2013", a expliqué à l'AFP la porte-parole de Paul Magnette, Marie-Isabelle Gomez.

    Ces puzzles, généralement destinés aux petits enfants, sont fabriqués en une sorte de plastique caoutchouteux semblables à celui utilisé pour les revêtements de sol de centres aérés ou de tapis de gymnastique. Or, certaines substances destinées à les assouplir sont "nocives lorsqu'elles sont inhalées ou ingérées et irritantes pour les yeux et la peau", ont dénoncé en 2009 des associations de consommateurs belge, italienne, portugaise et espagnole.

     

    Bisphénol A

    Les enfants y sont particulièrement vulnérables car ils "goûtent et mettent en bouche tout ce qu'ils trouvent", soulignait l'association belge Test-Achats. L'administration belge devra "prendre toutes les mesures nécessaires en vue d'assurer ce retrait", explique Paul Magnette, les contrevenants risquent des amendes pouvant aller jusqu'à 20.000 euros.

    En outre, afin qu'un tapis-puzzle puisse être à l'avenir mis sur le marché, le fabriquant devra prouver qu'il ne "contient plus aucune trace de substances nocives".

    La décision belge s'apparente à celle prise par la France et le Danemark, qui avaient décidé unilatéralement d'interdire la fabrication et la commercialisation de biberons contenant du bisphénol A, un composé chimique controversé utilisé dans la fabrication de plastiques alimentaires, avant que l'ensemble des pays de l'UE décident de faire de même le 25 novembre.


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  • par Yoann (son site) jeudi 9 décembre 2010 

    Lait, mensonges et propagande par Thierry Souccar

    On nous vante les mérites du lait depuis au moins 50 ans, tout à commencé avec la distribution du verre de lait dans les écoles qui a été instituée par Pierre Mendes France en 1954, depuis cette date, le calcium et les produits laitiers ont été glorifiés à un tel point qu’il parait nécessaire aujourd’hui d’avoir sa dose de lait dès sa plus tendre enfance. Je vous livre les quelques slogans dont on nous a matraqué le cerveau pendant des années et encore actuellement pour certains d’entre eux :
    "On se lève tous pour Danette"
    "Crème de Yahourt : Abusez-en, c’est un yaourt "
    "Gervais : "La croissance, ça compte double - Grandir dans le bon sens"
    "Danone Kid : Du calcium pour le goûter"
    "Les produits laitiers sont nos amis pour la vie"
    "Les produits laitiers, des sensations pures"
    "Petit à petit, on devient moins petit"
    "Bio au bifidus actif - Renouveller son corps de l’intérieur"
    "Actimel renforce vos defenses naturelles"
    .... etc .... etc .... etc ....
    Je m’arrête là car je pourrais y passer toute la nuit et je n’ai pas abordé les coeur de lion, président et autres salakis, je suis certain que vous avez déjà les slogans en tête ...

    Comme toujours, les études sont favorables aux produits laitiers qui ne lui voient que des points positifs car ce sont en majorité des études financées par l’industrie laitière. Comment faire confiance à ce genre d’étude ? Comment faire confiance à ces scientifiques ou médecins qui se "prostituent" au service des lobbies alimentaires et plus particulièrement dans ce documentaire, des lobbies laitiers ? Une vidéo valant mieux qu’un long discours, je vous invite à visionner : Lait, mensonges et propagande par Thierry Souccar

     

     


    Lait, mensonges et propagande - Thierry Souccar # 1/3
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    Lait, mensonges et propagande - Thierry Souccar # 2/3
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    Lait, mensonges et propagande - Thierry Souccar # 3/3
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  • Aspirine contre cancers

    L'équipe britannique du Pr Peter Rothwell, de l'université d'Oxford a publié dans la revue britannique The Lancet, qu'une consommation minime d'aspirine (acide acétylsalicylique) de 75 milligrammes par jour, au long cours réduit de 24 % le risque de cancer colo-rectal, et d'un tiers sa mortalité chez les personnes déjà atteintes.

    l’Aspirine faisait partie du protocole de prévention contre le Cancer du Dr Gernez, il y a plus de 30 ans déjà et que la bureaucratie française a étouffé ?


    1/2 : La Vérité sur le Cancer
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    2/2 : La Vérité sur le Cancer
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  • L’étrange expertise de l’OMS sur le Bisphénol A


    Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), il est prématuré de prendre des mesures de santé publique concernant le Bisphénol A. en tout cas c’est la conclusion de l’avis rendu récemment par l’organisme onusien.

    Mais une telle conclusion donne l’impression que l’on manque de données scientifiques, or on dispose aujourd’hui de près de 500 études publiées selon les règles de la déontologie scientifique, dans des revues à comité de lecture c’est-à-dire validées par les pairs, peut on lire dans un communiqué de presse.

    Il faut savoir que le Réseau Environnement Santé effectue une veille scientifique systématique depuis avril 2009, qui montre que 95 % des études menées chez l’homme et l’animal mettent en évidence un effet sanitaire.

    L’étrange expertise de l’OMS sur le Bisphénol A

    Le bisphénol A est connu pour s’extraire des plastiques spontanément à très faible dose [réf. souhaitée] et plus significativement s’il est nettoyé avec des détergents puissants ou utilisé pour contenir des acides, ou des liquides à hautes températures.

    95 % des échantillons d’urine collectés auprès d’adultes américains contenaient des niveaux quantifiables de BPA. Il peut être accumulé dans les tissus gras. La contamination humaine se fait essentiellement par ingestion mais un passage par les voies respiratoires ou la peau est possible.

    Le Bisphénol A, constitutif de nombreux récipients alimentaires en plastique est un xénoestrogène stable et résistant. Or le BPA est un leurre hormonal, capable de « mimer » l’effet des hormones sexuelles féminines qui ont un rôle dans la fonction de reproduction, mais aussi le développement d’organes comme le cerveau ou le système cardio-vasculaire.

    Massivement produit et dispersé dans l’environnement depuis quelques décennies, il est déjà couramment retrouvé dans l’organisme d’une large majorité de la population, quel que soit l’âge, et notamment chez les enfants. On en trouve maintenant dans presque tous les organismes vivants, ainsi, Park et Choi ont établi le EC50 du BPA à 0,2 mg⋅l−1 et à 3,3 mg⋅l−1 le LC50 pour les larves aquatiques Chironomus tentans.

    La prévalence du toxique est reconnue importante chez l’homme selon diverses études (93% des urines contiennent du BPA à faible niveau, mais aussi bien davantage de glucuronide, qui est le sous produit de métabolisation, excrété en quelques jours). Le risque d’effets est controversé, car les concentrations corporelles (33-80ng/kg) sont 1 000 fois inférieures à la réglementation EPA/US, mais produisent des effets avérés chez les rongeurs. Or, les rongeurs semblent métaboliser moins le BPA et y être plus sensibles, 10 fois en ordre de grandeur. Les nourrissons sont les plus à risque (leur exposition pouvant être douze fois plus élevée que celle des adultes).

    Le degré de toxicité et d’écotoxicité du Bisphénol A, et secondairement la « dose journalière admissible » sont encore discutés, et ont surtout été étudiés chez le rat de laboratoire, pour ses effets sur le cerveau, sur la reproduction des mâles mais plusieurs indices laissent penser que ce produit pourrait aussi toucher l’organisme humain :

    La Food and drug administration (FDA) qui avait initialement déclaré le BPA sans danger en 2008, est revenu sur son avis, sur la base de nouvelles études concluant à « des effets potentiels sur le cerveau et sur la prostate des bébés et des fœtus ». La FDA a ensuite encouragé l’initiative des industriels américains de ne plus utiliser de BPA dans les contenants d’aliments pour bébés et souhaite que le BPA ne soit plus utilisé dans les revêtements intérieurs de boîtes de conserves.
    le 5 février 2010, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (Afssa) a rendu un avis sur le bisphénol A. L’Afssa dit constater des « effets subtils » sur le comportement de jeunes rats exposés in utero, ce qui l’incite à « poursuivre son travail d’expertise pour comprendre ces signaux d’alertes ».
    Un avis qui ne satisfait absolument pas les médecins de l’Association Santé Environnement France qui y voient là un symbole du grand écart entre les préoccupations quotidiennes des gens et les abstraites recommandations des agences de l’État Voir leur positionnement de médecins de terrain. En Avril 2010, l’AFSSA a estimé qu’il n’y a « pas de raison de modifier les habitudes alimentaires », mais que « la protection des consommateurs doit être renforcée, et le niveau d’exposition de la population réduit ». L’AFSSA se fonde sur 769 échantillons d’aliments et sodas analysés, ayant montré des teneurs variables, inférieures au seuil de détection jusqu’à 17 microgrammes par kilogramme (µg/kg) d’aliment voire atteignant 128 µg/kg dans les conserves de légumes, poissons et plats cuisinés. Suite à ce travail, l’agence en appelle à une mobilisation de l’industrie (…) pour mettre au point des substituts du BPA pour les usages alimentaires et à une réévaluation des limites de migration spécifique du BPA.
    En attendant, l’AFSSA recommande un étiquetage systématique des produits contenant du BPA que les consommateurs ne chauffent pas ces produits trop longtemps. La présence de BPA dans les aliments est principalement due à sa migration à partir des matériaux au contact, ce phénomène étant accentué par le chauffage.

    Un avis et un rapport de l’Agence européenne de la sécurité alimentaire (EFSA) sont attendus en mai 2010.

    Des études ont montré (sans que d’éventuels liens de causalité directe soient déjà identifiés et compris) qu’un taux urinaire élevé de ce produit était corrélé avec un risque plus élevé

    - de diabète,

    - de maladies cardiovasculaires

    - d’anomalies du bilan hépatique.

    - de moindre efficacité de chimiothérapies chez les patients cancéreux.

    Parmi les effets attendus et mieux compris ; en tant que perturbateur hormonal, il s’est montré capable d’affecter la reproduction d’animaux de laboratoire et il pourrait être un des nombreux facteurs de délétion de la spermatogenèse chez l’homme.

    Chez le lapin, à faible dose (1 picogramme), il peut inhiber l’érection du pénis suite à des modifications des tissus du corps caverneux. Plus la dose de BPA est importante, plus les tissus sont dégradés par augmentation de collagène fibreux, dépôts de graisse, hyperplasie et fibrose.

    La souris de laboratoire CD1, exposée in utero à de faibles doses de BPA, accouche de mâles présentant une prostate plus lourde et un épididyme diminué, alors que les femelles présenteront des altérations du développement des glandes mammaires.

    10 μg/kg/jour (taux proches des valeurs d’exposition actuelles d’une femme enceinte) suffisent pour induire chez la souris des anomalies de développement de la prostate fœtale (ce qui rend plausible un risque accru de cancer ultérieur.)

    En 2007, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) notait en conclusion de son rapport sur le Bisphénol A, sa présence dans les canalisations de transport de l’eau potable et les conteneurs. Elle préconisait que des études soient menées sur la possible propagation de cette substance dans l’eau. L’EFSA fixa alors la dose journalière admissible (DJA) à 0,05 milligramme/kg (= 50µg/kg) de poids corporel pour cette substance, taux retenu par l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).

    Une enquête récente a détecté des traces de bisphénol A dans les urines de 91% des Canadiens, à raison en moyenne de 1,16 μg par litre d’urine, soit un taux proche de ceux relevés (concentrations moyennes ou médianes) ailleurs allant de 1 à 3 μg·l-1. Au Canada toujours, les 12-19 ans sont plus touchés (1,5 μg en moy.), alors que les taux les plus faibles sont détectés chez les plus de 60 ans (0,9 μg en moye). Selon l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) il serait en France d’environ 1 μg·l-1.

    Depuis le 18 avril 2008, Santé Canada, l’office public de santé du Canada, a classé le bisphénol A au rang de substance dangereuse. Le Canada a été ainsi le premier pays à classer au rang des toxiques cette substance, ce qui doit amener États-Unis et Union européenne à se prononcer. Le produit a ainsi été interdit dans certains Etats américains (Chicago, Minnesota, Connecticut et Suffolk County), tandis que les sénateurs Dianne Feinstein (dém., Calif.), Charles E. Schumer (dém., N.Y.) et Edward J. Markey (rép.) ont déposé une proposition de loi visant à son interdiction pour tout contenant de boisson.

    Le 15 août 2008, un rapport de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis concluait que ce produit ne posait pas de problème de santé humaine aux niveaux d’exposition habituels pour l’homme; ce constat n’est pas partagé par de nombreux scientifiques, y compris au sein d’un groupe consultatif de la FDA qui accuse l’agence de ne retenir que les arguments avancés par les études financées par l’industrie du plastique et d’ignorer une centaine d’études, créant « un faux sentiment de sécurité », alors que d’autres rapports ou études alertent sur les risques liés à ce produit. L’agence s’est engagée à réétudier la question, ce qui l’a amené à renverser partiellement sa position: si elle n’a pas interdit le Bisphénol A, ni contraint les producteurs à afficher la présence de Bisphénol sur les étiquettes (ce dernier étant classé « additif alimentaire ») faute, dit-elle, de preuves suffisantes, elle conseille le public de minimiser son exposition à ce produit. Ayant lancé une enquête dotée d’un budget de 30 millions de dollars sur deux ans pour étudier le Bisphénol, elle souligne que 90% de la population américaine présente des traces de bisphénol dans son urine et se déclare particulièrement soucieuse des effets du Bisphénol sur les foetus, les bébés et les jeunes enfants. L’industrie du bisphénol produit plus de 6 millions de tonnes par an de ce produit.

    Le 30 septembre 2010, l’Agence européenne de sécurité des aliments rend un avis concluant qu’il n’existe aucune nouvelle preuve les amenant à reconsidérer la DJA fixée à 0,05 mg/kg de poids corporel et considère qu’il n’est pas dangereux pour la santé.

    L’OMS base son raisonnement sur le fait que le BPA n’est pas stocké et est éliminé rapidement. C’est exact, mais ce raisonnement est curieux, car, si le BPA est effectivement éliminé rapidement, l’exposition de la population est quotidienne, peut on lire dans un communiqué de presse.

    L’OMS conteste par ailleurs une source de contamination via les papiers thermiques, alors que l’étude récente de l’INRA Toulouse montre que le BPA peut pénétrer la peau , ce qui suggère un risque pour les salariés exposés professionnellement comme les caissières. Cette donnée permet d’expliquer pourquoi ce groupe de population est le plus imprégné en BPA, comme cela a été mis en évidence dans une étude américaine récente.

    Cependant, la position de l’OMS n’est pas conforme au principe de précaution, lequel principe devrait guider ses prises de position. Dans la mesure où on dispose d’indications de toxicité, il est nécessaire d’agir sans attendre d’avoir la preuve définitive, apprend t on dans le même communiqué de presse.

    Il y’ a de quoi se poser des questions puisque ces erreurs grossières du rapport de l’OMS laissent planer un doute sur la déontologie de l’expertise de ce groupe et sur la façon dont sa composition a été effectuée.
    http://www.actualites-news-environnement.com


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