Information alternative
Ma lettre précédente s'adressait à votre conscience. Je n'espère pas qu'elle ait ouvert plus de quelques maigres % de vos esprits, encore que tout ouragan commence par le froissement de l'aile d'un papillon, et qu'il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour perséverer.
Cette seconde lettre, plus prosaïque, va s'adresser à votre porte-monnaie, et à votre crainte de la justice humaine, qui sont hélas des moteurs souvent plus efficaces que la conscience.
La loi scélérate qui vous a été imposée (bien plus par un lobby pharmaceutique qui peut tout acheter et par quelques députés et Ministre, soit corrompus, soit grotesquement ignorants, bien plus que par l'ensemble de notre corporation, qui comprend de nombreux opposants beaucoup trop tièdes et discrets), ne sera applicable, en ce qui concerne les onze vaccins obligatoires, que pour les enfants nés après le 1er Janvier de cette année.
Pendant les six ans qui viennent, vous ne serez tenus légalement de vacciner les enfants plus âgés qu'on vous confie que par les trois vaccins obligatoires, diphtérie, tétanos et polio, tous les autres n'étant que recommandés.
Ce qui est impossible, puisque le DTPolio n'est toujours pas disponible, et ne le sera pas malgré la condamnation toujours en vigueur de l'Etat en Janvier 2017 à obliger les fabricants de vaccins à mettre ce triple vaccin à disposition avant le mois d'Août 2017, condamnation dont on ne voit toujours pas le début d'une amorce d'exécution.
Vous allez donc devoir exécuter des vaccinations avec des valences supplémentaires qui ne sont que recommandées.
Ce qui veut dire que l'Etat se décharge complètement sur vous de la responsabilité de cet acte médical, et qu'il ne prendra pas à sa charge la réparation des dégâts que ces vaccins pourront entrainer, puisque certains ne seront pas obligatoires. Tout au plus pourrez-vous espérer, comme ce médecin, qu'un tour de passe-passe juridique vous évite une condamnation, tout en laissant votre conscience aux abois et dans les affres de la culpabilité.
Vous pensez que le risque est faible, et que le contexte hyper-vaccinaliste vous autorise à continuer à procéder ainsi sans prendre de risque.
Mais lorsque l'accident surviendra, quand une victime aura la force et le courage de se retourner conte vous (ce qui risque d'arriver de plus en plus souvent grâce à internet qui donne tous les arguments de défense juridiques), sachez que vous ne pourrez pas compter sur l'Etat pour vous défendre. Vous serez superbement ignoré tant par notre Ministre que par le Conseil de l'Ordre, pour avoir injecté des vaccins qui n'étaient pas obligatoires.
Vous avez du mal à le croire ? Alors lisez le témoignage de ce malheureux médecin qui a accordé trop de confiance à qui ne la mérite pas. Vous serez seul, définitivement seul, face à la "Justice".
Et ce jour là, vous penserez à moi. Mais il sera trop tard.
Août 99. Accompagné de sa mère, un jeune homme de 18 ans me consulte pour un rappel de vaccination contre l’hépatite B. La primo vaccination a été effectuée à titre systématique quelques années plus tôt dans son collège et cette injection supplémentaire est déjà inscrite dans son carnet de santé.
En raison du contexte à risque et de l’insistance maternelle, j’effectue le rappel demandé. Quelques semaines plus tard, mon jeune patient présente des troubles de la marche et un nystagmus me faisant évoquer une première poussée de sclérose en plaques, diagnostic malheureusement confirmé peu après à l’I.R.M.
Aussitôt, les parents portent plainte contre moi, m’accusant d’avoir déclenché la maladie de leur fils en effectuant ce rappel. Ils choisissent un avocat de renom qui, pour faire monter la mayonnaise médiatique, obtient la parution dans le quotidien régional d’une pleine page sur cette affaire avec la photo du jeune homme en fauteuil roulant sous un titre assassin : « Il m’a dit de relever ma manche et m’a injecté la mort ».
Très affecté par cet article heureusement anonyme et éprouvant un profond sentiment de culpabilité, je tente de trouver un peu de soutien autour de moi.
Au ministère de la santé, on m’explique n’être plus concerné puisque l’obligation vaccinale vient d’être suspendue pour « calmer l’inquiétude populaire » (sic).
Le fabricant du vaccin se dédouane en précisant que le risque de survenue d’une réaction neurologique post-vaccinale est un « effet secondaire potentiel » connu et d’ailleurs inscrit dans la notice.
Quant au Conseil de l’Ordre, il me souhaite confraternellement bon courage, non sans avoir vérifié que j’étais à jour de ma cotisation annuelle.
Bref, je me retrouve absolument tout seul pour assumer les conséquences de mon acte et je rédige moi-même mon argumentaire en défense en le basant uniquement sur l’absence de lien prouvé de causalité entre vaccin et sclérose en plaques.
Je sais me montrer convaincant sans être convaincu, et mon jeune patient est débouté en première instance puis en appel. La procédure s’est définitivement éteinte en même temps que la victime, enterrée l’an dernier, mais pas le doute qu’elle a fait naître dans ma conscience.
Alors, quand j’apprends, en mars dernier, que le Conseil d’État a décidé de contraindre les fabricants à ressortir le seul vaccin obligatoire en France, le DTPolio dont ils avaient organisé la pénurie depuis 10 ans pour imposer aux médecins souhaitant respecter la Loi de le combiner à d’autres vaccins, facultatifs et aluminiques ;
Quand je découvre qu’immédiatement le gouvernement, sous la pression du lobby pharmaceutique, a programmé de contourner cet arrêt du CE en rendant obligatoires tous les vaccins facultatifs au motif d’éradiquer ces maladies de la planète (sur laquelle, rappelons-le, nous représentons moins d’1 % de la population).
Quand je note qu’une agence nationale de sécurité médicamenteuse fait taire un chercheur dont les travaux démontrent la toxicité neurologique de l’aluminium quand il est injecté (ce qui n’a rien à voir avec sa bénignité par voie orale dont on nous rebat les oreilles) ;
Quand je constate qu’on retire l’aluminium des vaccins vétérinaires mais qu’on le conserve dans ceux de nos enfants ;
Et quand je sais que dans notre pays merveilleux, les nuages atomiques s’arrêtent aux frontières, des ministres responsables mais pas coupables utilisent le sang contaminé pour ne pas le gâcher et le Médiator tue pendant 10 ans de trop, simplement parce que son fabricant est français, je ne peux m’empêcher d’exprimer un sérieux doute.
Pas sur l’intérêt de la vaccination que je considère comme l’une des découvertes médicales les plus importantes et les plus utiles. Non, j’ai un doute réel et sérieux sur l’innocuité de l’aluminium utilisé dans les adjuvants.
Et tout ce qui se passe et se dit actuellement ne parvient pas à me rassurer, surtout lorsque cela émane de politiques ou de scientifiques dont certains pataugent dans les conflits d’intérêts.
Alors je fais un rêve : si au lieu de menacer de sanctions financières les parents inquiets, d’éviction scolaire les enfants innocents ou de radiation professionnelle les médecins dubitatifs, pourquoi nos Autorités de Tutelle n’imposeraient-elles pas aux Laboratoire de modifier leurs adjuvants ?
Elles l’ont fait spontanément pour l’excipient du Levothyrox, avec les résultats que l’on a pu apprécier et sans que les malades ne leur aient rien demandé.
Cette fois, il existe une vraie demande publique de remplacement de l’aluminium par autre chose, comme par exemple le phosphate de calcium, produit naturel et parfaitement inoffensif, utilisé sans aucun problème dans plusieurs pays et par le Laboratoire Pasteur en France pendant une quinzaine d’années, jusqu’à sa fusion avec Mérieux, signant le retour de l’alu et de ses casseroles.
C’est peut-être un vœu pieux, mais cela aurait le mérite de calmer l’angoisse croissante de la population et, pour nous autres médecins, de lever enfin ce doute lancinant.
Bon, ce pauvre garçon, qui m'inspire beaucoup de sympathie, a encore un peu de travail à faire, quand il exprime :
Mais je ne doute pas que ce chemin, il le fera dans les mois qui viennent, et rejoindra les médecins anti-vaccins qui deviendront rapidement majoritaires, car rien ne peut arrêter une idée dont l'heure est venue.
Et l'heure est venue.
Vous pouvez suivre les malheurs de ce confrère sur le blog :
http://dr-gimbert.fr/prose-perso/humeur/2017/11/adjuvants-des-vaccins-un-doute-serieux