Information alternative
C’est une information Faits & Documents : la DILCRAH – cet acronyme charmant – a vu son budget de 100 millions reconduit pour la période 2018-2020. Il s’agit de lutter principalement contre « l’antisémitisme », celui-là même que des agents d’influence exacerbent pour justifier ces prébendes, un « antisémitisme » dont les actes ont pourtant baissé de 50% en 2016, d’après leurs propres chiffres...
Cette mainmise des professionnels de la « Haine » tous azimuts sur le trésor national sous prétexte de lutter contre ce que les associations elles-mêmes provoquent en étouffant toute liberté d’expression, est insupportable d’un point de vue moral.
Les Français dans leur immense majorité ne détestent aucunement les juifs – si BHL nous permet d’utiliser ce pluriel qu’il juge discriminatoire (par contre « les islamo-gauchistes » c’est permis) –, en revanche ils détestent qu’on les prenne pour des criminels et en leur faisant les poches pour lutter contre leurs prétendues turpitudes !
La DILCRAH a encore soutiré 100 millions sur notre propre argent, pour nous fliquer et nous réprimer davantage, « l’antisémitisme » n’étant qu’un prétexte, soyez-en sûrs. Ce qui est en jeu n’est pas « l’antisémitisme » ou le respect des victimes dont ils se fichent, mais bien le pouvoir, qui se défend de toute opposition avec ce bouclier intransperçable, sous peine d’amende ou de prison.
Un pouvoir qui devient, de fait, de plus en plus absolu, ne tolérant pas la moindre remarque, la moindre critique, même sensée. Surtout sensée ! C’est la lucidité politique sur le sort des Français sous domination atlanto-sioniste qui est combattue avec virulence et violence par les agents du pouvoir profond, qui se confondent parfois avec les élus de l’État. Ainsi des présidents successifs de la DILCRAH : Gilles Clavreul hier, Frédéric Potier aujourd’hui.
« La France a reconnu sa responsabilité dans la déportation des juifs et l’a assumée à travers notamment la création en 2000 de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, en réparation des préjudices causés, et grâce à l’entière restitution des sommes spoliées qui étaient restées sans ayants droit.
En moins de 10 ans, la Fondation a joué pleinement son rôle. 150 millions d’euros ont été affectés pour soutenir le Mémorial de la Shoah ainsi que pour aider plus de 1 700 projets dans les domaines de la solidarité envers les survivants, de l’Histoire, de la mémoire, de l’enseignement de la Shoah, de la culture juive.
Depuis 10 ans, la Commission pour l’indemnisation des victimes de spoliations a restitué plus de 450 millions d’euros à des dizaines de milliers de requérants. Je salue le travail de cette remarquable institution. Enfin, j’ai décidé en août dernier de revaloriser la rente aux orphelins de parents déportés, fusillés ou abattus en tant que juifs, créée en 2000. Elle le sera chaque année jusqu’en 2012. » (Le Premier ministre François Fillon au dîner du CRIF le 8 février 2012)
La rallonge accordée par Édouard Kippa Philippe à la DILCRA est dans la droite ligne des 450 millions (!) accordés par François Fillon en son temps en « indemnisations » pour les juifs français « victimes de spoliations », et aux 100 précédents millions accordés gracieusement par Manuel Valls à Gilles Clavreul, l’agent qui faisait la jonction entre l’État et le pouvoir profond dans une officine qui délivrait des permis de penser. Le 1984 d’Orwell est pulvérisé.
Les forces de ce dispositif oligarchique rassemblant des élus subordonnés et des relais médiatiques complaisants essayent péniblement de faire de l’antisémitisme le problème numéro un des Français, et à cela il faut résister. Même si cette résistance est « justement » condamnée par ceux qui ont mis ce piège en place.
Tout cet appareillage nauséabond et cette ingénierie sociale sentent la dictature à plein nez, et nous tirons la sonnette d’alarme. Avec la pression que l’État français est en train de mettre sur les GAFA, ces multinationales de la communication marchande sur l’Internet, bientôt une simple question sur le sionisme sera par amalgames considérée comme un crime contre l’humanité et jugée comme tel. Il ne restera alors aux Français qui chérissent leur légendaire liberté (d’expression) que leurs yeux pour pleurnicher. Mais l’aveuglement n’est pas une fatalité.
Contrairement à ce que professe le libéralisme aux commandes, la parole est plus importante que l’argent.
source : E&R