Information alternative
Par webrunner
Avec le recul, on comprend que l’introduction de Roms en France dans les années 2000 a été le prélude au chaos migratoire que nous connaissons depuis deux ans. Le principe est le même : déstabiliser un pays en lui injectant une population impossible à intégrer et génératrice de chaos social. C’est le petit peuple français qui subit cette déferlante dont le seul objet est de voler, sans aucun complexe. Connaissant bien le droit français en la matière – c’est-à-dire une répression quasi-inexistante, d’autres diraient un véritable encouragement –, ils savent passer entre les mailles du filet juridico-policier afin de poursuivre, impunément, leur travail de spoliation de basse intensité. Car si les Roms volent, ils ne volent généralement que des babioles. Mais aussi les métaux (cuivre, plomb), que les responsables de cette communauté trafiquent et revendent dans les pays de l’Est par camions entiers. Il s’agit donc, derrière des petites mains esclavagisées, d’une véritable mafia, et dont les parrains vivent au pays, dans des châteaux à la décoration grotesque. Un pillage qui finit en mauvais goût…
La délinquance sous-prolétaire de ces « sous-hommes » apatrides transfrontaliers est à l’image de la délinquance financière des « surhommes » apatrides transfrontaliers, ce qui explique peut-être leur impunité : les uns s’attachent au cuivre, les autres à l’or. Les spoliateurs d’en bas sont soutenus par les spoliateurs du haut, moins visibles mais autrement plus puissants. D’où la nécessité, pour se débarrasser des racailles d’en bas, de se débarrasser aussi des racailles d’en haut...
Thème Magazine © - Hébergé par Eklablog